Carte de voeux à imprimer (pour les retardataires)

Cartes de voeux pour retardataires à imprimer


Cartes de voeux 2012

Depuis le 1er janvier, j’avais en tête de faire mes cartes de vœux. C’est important, à mes yeux, de créer mes propres cartes, des les imaginer, de passer du temps à les confectionner, à les personnaliser. C’est une petite attention que j’aime offrir.

Cela faisait donc 28 jours que je pensais à la façon dont je pourrais m’y prendre, aux couleurs, à la typographie, au message, au choix du papier. Cela faisait tout autant de jours que je regardais les cartes de vœux ici et là. Ce qui est bien lorsqu’on s’y prend tard est que l’on a eu le temps d’imaginer mille cartes dans sa tête, de s’inspirer des joliesjolies cartes/idées vues ici et là et aussi d’avoir dit à tout le monde qu’une petite carte allait bientôt arriver dans leur boite aux lettres.

 

 

Hier, j’ai enfin pris le temps de faire mes cartes de vœux. Il était temps si je ne voulais pas déborder sur le mois de février. Elles ne sont pas si aussi fines et travaillées que je l’aurais souhaité. Je n’avais pas beaucoup de temps devant moi, mais je ne voulais pas me défiler. Je préfère des cartes imparfaites à rien-du-tout.

Du coup, si comme moi, vous êtes un peu en retard pour vos cartes de voeux. Je vous propose de les imprimer et de les envoyer vite vite (c’est un peu aussi ma façon à moi de vous envoyer mes voeux puisque je ne pouvais pas envoyer une petite carte à tout le monde). Il y a quatre modèles, cela n’est pas marrant si tout le monde reçoit la même carte :

  1. carte de voeux avec le sapin,
  2. carte de voeux avec le renne,
  3. carte de voeux avec les mots-cachés,
  4. carte de voeux avec le cocktail.

J’ai pris soin de les imprimer sur du joli papier en format A5. Ce papier leur donne tout de suite un peu de tenue. Lors de l’impression, il ne faut pas oublier de sélectionner le format A5 donc, et de choisir l’option sans bordure.

J’ai également ajouté des petites doses de gaité que j’ai glissé avec la carte cocktail. Ce sont des sachets à confettis. C’est tout simple et rapide à réaliser, et c’est tout mignon. J’avais lu cet article en début de semaine. A partir de cette idée, et vu que je n’avais pas beaucoup de temps, j’ai fait simplement des petits sachets avec du papier kraft, j’ai glissé quelques confettis et fabriqué les étiquettes avec du masking-tape.

Je vous souhaite une belle semaine !

Cartes de voeux pour retardataires à télécharger gratuitement


 

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La destination des vacances,

Valencia, vacances


Et si on partait au bout du monde ?

 

C’est toujours un moment délicieux, le moment où l’on choisit la destination des vacances. On y pense quelques jours avant. On se projette, on rêve un peu. On s’imagine alors dans un catamaran aux îles grenadines, dans un train étrange entrain de traverser l’Inde, ou plus simplement dans un petit bar italien savourant la dolce vita. On rêve. On est rêvé. On danse, on rit, on vit. On est bien, on a le temps. Le soleil frappe avec délice notre peau. Le vent se cogne contre nos joues. A ce moment là, tout semble possible. Et, simple. On a juste à choisir. La découverte, l’aventure, la dolce vita.

C’est doux. On se laisse porter, bercer. On se sent léger, prêt à s’envoler. A l’intérieur, on a déjà pris la poudre d’escampette. On programme un voyage au bout du monde. Et puis non, on hésite. Et si on allait plutôt  ? Partir plus près, c’est bien aussi. On partage nos rêves et nos envies de bout du monde. On se chamaille un peu, pour la forme. Parce qu’au fond, qu’importe le lieu, on sait que les vacances seront belles. Des vacances ne peuvent être que belles après tout.

Commence alors les choses sérieuses, on sort le calendrier. On compare nos temps libres. On fait des compromis. On compte les semaines, et les jours sur les bouts des doigts. On se chamaille, un peu encore. On hésite.

Et puis finalement, qu’importe la destination, les jours, l’idée de partir est une petite merveille. A déguster à la petite cuillère.

Valancia, destination parfaite de vacances

Les photographies sont encore de Valencia. Je ne m’en lasse pas.


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Des bouts de vie, de quotidien

Les journées s’allongent à nouveau. De la fenêtre, je guette les rayons de soleil. Le soleil hivernal est le meilleur, le plus intense. Le plus poétique. Les cours, les projets, le mémoire occupent mes journées – et quelques nuits. Et, je crois que, j’aime bien ça. C’est une façon comme une autre de se sentir vivre. D’exister. Cela déborde, cela bouillonne. C’est rassurant tous ses projets qui s’emmêlent, s’entrechoquent. C’est plein de vie, de jeux, et de couleurs.

Le chargeur de mon reflex a pris la poudre d’escampette. Je me rends compte comme prendre des photographies au quotidien peut me manquer. Je n’ai jamais eu autant d’idées et l’envie de tenir un reflex entre mes mains. Je rêve d’images parfaites et de couleurs douces. En attendant, il reste l’iPhone. Cela sera peut-être l’occasion de l’apprivoiser, une sorte d’expérimentation. Je reste toujours abasourdie lorsque je vois des photographies sublimes réalisées à partir d’un simple smartphone. Je m’excuse d’avance pour la qualité des photographies que vous risquez de croiser par ici. L’aspect positif est quelles seront sûrement un peu plus naturelles, prises sur le vif.

Mon projet de fin d’étude commence à prendre forme. Pour la première fois depuis longtemps, je dessine. Ce seront mes illustrations à moi. Alors même si j’y passe des heures, si j’efface, recommence, passe plusieurs minutes sur une simple courbe ; je suis plutôt contente du résultat. J’ai conscience qu’il reste encore beaucoup beaucoup de travail mais cela avance peu à peu. Il me tarde de pouvoir vous le montrer et de vous en dire un peu plus. Bientôt.

Et vous, vous allez bien ?

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