Le colis est expédié, le colis est expédié, le colis est enfin expédié!
Le cadeau magique va bientôt être déposé au seuil de ma maison.
Après deux semaines d’attente et d’actualisation de la page de la Fnac, le site annonce l’expédition de colis. Je migre alors aussitôt sur le site de Colissimo et commence à nouveau le fabuleux manège de l’actualisation.
J’attends sagement.
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Post-it
Note n°1: l’ordinateur a mouru durant la nuit de vendredi à samedi. Enfin, le chargeur de l’ordinateur a mouru, ce qui revient plus ou moins à la même chose. Après moults réparations, il s’est éteint. Il aura succombé aux grignotages de Stich, le chien. Je dirais bien qu’un Mac m’appelle mais cela serait oublié les économies à réaliser. J’attends sagement, et je pianote sur l’ordinateur de mon enfance. Il possède la majestueuse lenteur de temps révolus. Ah, le charme de l’ancien!
Note n°1*: un jour, je me déciderai à acheter un chargeur – peut-être-.
Note n°2: L’université est toujours bloquée. La révolution continue pendant que d‘autres composent dans leur tour de thébaïde. Hasta la revolution siempre!
Et, le président (de l’université) semble s’amuser plus que jamais à écrire le rien dans ses communiqués. Voudrait-il rivaliser Flaubert?
J’attends la libération.
Note n°3: je clique toujours névrotiquement sur le site de la Fnac plusieurs fois par jour. Le cadeau merveilleux n’est toujours pas expédié. Arrivera-t-il un jour?
J’attends – en ronchonnant -.
Note n°4: je décide de sortir de ma léthargie et je rédige des annonces pour donner des cours. Je colle les annonces partout et nulle part, dans des « endroits stratégiques » diraient d’autres.
Et encore une fois, j’espère (et attends) des appels.
Si vous avez des conseils, n’hésitez surtout pas…
Note n°5: l’ambroisie de volaille au foie de canard et au Porto et un verre de Jurançon, se marient divinement bien. Mes cuisses aussi apprécient.
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Un dimanche après midi,
Note du dimanche,
c’était le sable fin, le soleil et l’amoureux à mes cotés. C’était une parenthèse de vie, un sourire vif. Le pique-nique vers 14 heures. La vue panoramique vers l’infini, vers la mer bleu-paradis. L’arrivée à la plage. Le premier regard vers les vagues, le premier contact entre le sable tiède et ma peau. Ma main dans la sienne. L’appel du bonheur simple.
Les vêtements qu’on laisse tomber et s’évanouir sur le sable. Le corps est léger, presque nu. La peau devient peu à peu halée. Le ciel est bleu-rêve.
Comme un conte de fée.
