Post-it

Note n°1: Depuis presqu’une semaine, j’actualise la page de la Fnac plus de dix fois par jour. J’attends l’expédition d’un joli cadeau d’Amoureux, qui ne s’expédie, on ne sait pas trop pourquoi, toujours pas. Il devrait déjà être dans mes petites mains, au chaud.
Dites et rassurez-moi s’il vous plait, vous avez déjà eu des problèmes avec le site de la Fnac?

Note n°2: j’ai enfin reçu mon permis. Le vrai, le rose. Je me sentais ( un peu ) grande dans le bureau de la poste avec mon sourire pendu à mes lèvres et ce bout de papier rose. Ce week-end, on va en Espagne, il parait. Il parait que j’ai le droit maintenant.

Note n°3: l’université est toujours bloquée. Les communiqués du président frisent le néant. Je crois que même avec tous les efforts du monde, il ne pourrait pas en faire moins. Et, plus je passe mes journées à ne rien faire, plus je suis fatiguée. Vous comprenez-vous? Je deviens une marmotte à temps plein.

Note n°4: l’amoureux a coupé ses cheveux. Courts. Très courts. Très très courts. Aïe.

Note n°5: la margarita fait toujours aussi mal à la tête.

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Note du lundi

En ce moment, je reçois des merveilles. Ici, et . Un peu partout. J’ai crée cette petite maison de mots, il y a un peu plus de six mois. Depuis que j’ai posé mes bagages dans ce petit univers, je gribouille mes mots, mes humeurs, mes pensées. Des bidules futiles aux idées qui me tiennent le plus à cœur. J’écris en toute liberté les pensées qui volètent autours de moi. Je tricote des articles, des tissus parfois légers, parfois un peu plus épais. Je papillonne. Cette maison de mots et d’images est devenue en quelques mois mon abri, mon doudou face au monde. C’est un endroit douillet et intime. Un nuage de liberté et de douceur. Un nuage qui rencontre d’autres nuages. Cet univers m’a permis de tisser des liens jours après jours. Des petits liens qui grandissent doucement, doucement. De rencontrer des personnes à travers leur maison de mots et d’images aux mille couleurs. De découvrir des personnalités riches et rares. Troublantes. C’est une bourrasque de vie, une tornade de sensibilité. Ce sont des secrets et des confidences en pagailles. La peur du jugement semble évanouie. Les mots s’envolent et créent des étincelles. Une confiance particulière nait peu à peu, et esquisse des jolies choses à venir.

( Ici, tout semble plus simple, plus évident )

Ce blog m’apporte beaucoup plus que je n’aurais pu l’imaginer à son ouverture. C’est Amoureux qui m’a pris la main en septembre, en me disant que je devrais écrire un blog, que le plaisir de l’écriture se partage. J’avais peur de son manque d’objectivité, de ne pas parvenir à être régulière, de ne pas m’accrocher aux branches. Puis, je l’ai ouvert. Un soir, j’ai écrit le premier article. Puis au fil des jours, je n’ai jamais cessé. Je m’écris, me décris. Je me dévoile et j’apprends. J’apprends à écrire et à être lu par des inconnus peu à peu, à recevoir des commentaires. Je me découvre. Les mots tremblent de moins en moins.

Vous savez, au départ, j’avais peur. Peur de ne pas être lue, peur de recevoir des commentaires négatifs et gratuits. J’avais peur que mon écriture, qui tombe encore trop souvent dans l’emphase, déplaise. Je n’ai encore rien reçu de négatifs et je croise les doigts. Vos mots sont doux, sucrés comme l’été. Ils me rassurent souvent. Il y a des commentaires qui m’ont ému aux larmes tellement ils étaient forts, ils disaient ce que je n’osais imaginer. Il y a des commentaires qui m’ont fait sourire, parfois rire. Puis toutes cette attention particulière, ces conseils avisées et surprenants par leur justesse.

Enfin, je vous remercie. Tous et toutes. Six mois, c’est peu. C’est le début du commencement d’une histoire.

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Note du vendredi

Je vous présente, Déli’Cat, le taton devenu maintenant grand puisqu’il ne me semble pas encore vous l’avoir présenté.

A Toulouse, le soleil est revenu depuis hier et éclaire à nouveau les visages. Les robes enfilées jouent la valse des couleurs. Les promenades s’allongent comme les sourires. L’air sent la bonne humeur.
Bienvenu à Toulouse.

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