Kit pour la fête des pères à imprimer

Cela fait des années que je propose des petits kits pour la fête des mères et je me rends compte que je n’avais jamais encore créé un kit pour la fête des pères : alors, voilà, qui est réparé !

Je voulais une création à la fois enfantine, joyeuse, simple à réaliser mais aussi que l’on pourrait personnaliser afin de se l’approprier.

Kit pour la fête des pères à télécharger

Alors, j’ai imaginé des motifs et une famille de doudou à créer et adopter pour la fête des pères. Il y a plusieurs formats et possibilités. J’ai pensé à une petite pochette où l’on pourrait glisser les doudous, quelques mots, une fleur, de l’amour avant de l’offrir.

Alors, j’ai créé une enveloppe magique porte-bonheur pour pouvoir la glisser dans un carnet ou un sac pour l’avoir toujours prêt de soi. Si vous préférez une version un peu plus « grande », vous pouvez également glisser les doudous dans un cadre.

Je vous explique et montre comment ?

Matériel pour créer votre cadeau pour la fête des pères

  • imprimer le kit pour la fête des pères sur du papier épais
  • du joli papier, à grain par exemple, si vous voulez ajouter un petit mot ou un petit dessin dans la pochette
  • des ciseaux (un cutter ou une aiguille pour faire les trous au niveau des bras, même si vous devriez vous en sortir avec une simple paire de ciseaux !)
  • de la colle
  • des attaches parisiennes pour les bras des doudous
  • du carton ou du papier kraft épais si vous décidez de rendre les doudous un peu plus solides ou de fabriquer un cadre
  • de l’amour, beaucoup d’amour !

Comment créer mon kit pour la fête des pères ?

Étape 1 : après avoir imprimé le kit, découpez soigneusement les doudous et leur bras.  Le kit possède une taille « mini » pour les pochettes, et une taille « maxi » si vous préférez construire un cadre.

Si vous souhaitez solidifier votre doudou, collez la feuille dans un premier temps sur un carton épais, puis découpez le modèle.

Étape 2 : faites des trous pour relier les attaches au buste. Passez les attaches parisiennes dans les bras, puis sur le doudou. Retournez les pattes de l’attache sur l’arrière.

Étape 3 : et voilà votre doudou est en vie, vous pouvez lui faire un câlin !

Comment créer une boîte douillette pour mon doudou ?

Vous pouvez utiliser du papier kraft épais pour donner un aspect naturel.

Étape 1 : reproduisez le gabarit à la taille souhaitée en conservant les proportions.

Étape 2 : découpez et pliez-le au niveau des pointillés.

Étape 3 : appliquez de la colle sur les quatre petits carrés de la face extérieure.

Étape 4 : collez les quatre cotés et appliquez de la colle sur les rabats. Repliez-le sur l’intérieur de la boîte.

Étape 5 : glissez votre doudou dans sa nouvelle maison !

Comment réaliser une pochette à doudou ?

Étape 1 : reproduisez le gabarit à la taille souhaitée et découpez-le. Vous pouvez utiliser les feuilles à motifs disponibles dans le kit.

Étape 2 : pliez au niveau des pointillés et mettez un point de colle sur un des volets pour faire tenir la pochette.

Étape 3 : découpez les étiquettes et en collez une sur la pochette !

Étape 4 : et voilà, votre pochette à doudou est prête !


Vous nous montrerez vos doudous ?

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Note du dimanche-lundi


 
J’ai l’impression d’un doux rituel, d’une rencontre que je m’offre tout juste après, ou avant, la course. C’est peut-être aussi, une jolie façon de commencer et de terminer les jours ailleurs, les jours qui sentent bons le dépaysement. Je suis dans l’avion entre Lisbonne et Toulouse. J’ai l’impression d’avoir laissé derrière moi, avant de partir à Toulouse, un tsunami.

Dimanche dernier, j’ai eu trente ans. J’étais en Algarve au bord de l’océan avec Marion. Ce jour-là, j’ai écrit, j’ai beaucoup marché. Après des jours gris, le soleil s’est levé. Alors, on a trinqué à mes trente ans et aux surprises à venir au coucher de soleil face à l’océan.

Ce jour-là, j’ai reçu des dizaines de mots. Des mots qui me rappellent ma chance de vous avoir prés de moi et d’être entourée d’autant d’amour et bienveillance. J’ai souri, j’ai passé, littéralement, ma journée à sourire. Je n’avais plus peur de grandir. J’ai serré les mots les souvenirs l’amitié la beauté les paysages les émotions. La vie, la belle vie contre moi. Il aurait pas fallu, je crois, me secouer beaucoup pour que cela déborde. Et depuis, j’ai l’impression d’être entourée de cet amour et énergie-là.

Ce jour-là, j’ai commencé une série d’autoportrait : trente ans, trente images. Symboliquement, j’ai décidé de m’offrir un autoportrait par jour durant les trente jours d’après : une seconde à soi capturée pour se souvenir de ces premiers jours particuliers, pour prendre aussi le temps de se regarder, de ralentir et de jouer avec son reflet. C’est doux et inspirant de commencer une nouvelle décennie de cette façon-là. Alors, depuis, je tâtonne, je joue, je me chercher et regarde.

 
 


 

Le jour d’avant, il y a eu la comptabilité qui m’a fait des nœuds à la tête ou dans le ventre. Je ne sais plus trop. Je sais juste que j’y pense souvent la nuit et que je me demande encore, même après cinq ans à être à mon compte, si j’ai les épaules pour porter ce poids-là. Je me rassure en me disant que je sais que je suis au bon endroit quand je conseille, quand j’écris et photographie, quand je me sens libre de travailler à ma façon et quand je lis les mots justes de Camille. La veille de partir, je disais à Pauline que ce qui me rendait vraiment heureuse était de rendre les personnes, justement, heureuses, de leur donner les outils et les moyens pour leur donner confiance en eux et faire ce qu’ils aiment. Je suis sûre de ça et cela me rassure de tout. Alors, quand tout le monde semble si enthousiastes et confiants autour de moi, je souris et je me demande à quel âge, on devient, à son tour, un peu plus confiants et sereins envers soi.

Le jour d’avant, le dernier rendez-vous avec la banque et le dossier déposé, la peur au ventre et la gentillesse, le positivisme et l’écoute de mon banquier en retour. J’ai souvent entendu des entrepreneurs se confiaient sur leur difficulté à faire un prêt immobilier et à être pris au sérieux. Je me rends compte de ma chance. Je ne sais pas vraiment si j’obtiendrais ce prêt. Je ne suis pas sûre et je croise, tout de même, les doigts chaque soir avant de m’endormir. Je sais, en revanche, que mon banquier s’est toujours montré disponible et bienveillant envers moi. Je me souviens ce premier rendez-vous, en janvier, pour lui parler de cette envie d’acheter mon appartement. Je tremblais et je bafouillais. J’avais peur. J’avais l’impression d’avoir cinq ans et de me retrouver, par erreur, dans la cour des grands. Je me disais qu’il allait rire fort, me dire de trouver un CDI et de revenir dans quelques mois ou années. Cela n’a pas été le cas. Il a passé deux heures à me rassurer. C’était rien et c’était beaucoup. Je suis ressortie de ce rendez-vous-là apaisée.

Les jours d’avant, cette volonté d’avancer sur ma boutique d’affiches qui me met des étoiles dans les yeux et de ne jamais y trouver – ou prendre – le temps. Et, chaque jour, les mails, les SMS, les appels et les urgences. La journée qui semble se terminer avant d’avoir commencé. Alors se promettre, pour la centième fois peut-être, de penser un peu plus à soi, de prendre du temps pour soi et de respirer. De trouver l’équilibre et le temps nécessaire. De comprendre, et d’entendre, que l’on ne peut ni tout faire ni tout avoir. Alors décider de faire des choix, de tordre le quotidien et de s’y tenir. Et sentir ma petite fierté d’avoir réussi à couper des urgences durant une semaine au Portugal. Au retour, ma gène malgré tout et les mails bienveillants de mes clients qui me répondent, en écho, tous, de profiter du plus bel âge et, surtout, de prendre le temps. Serrer, serrer, ma chance.
 
 


 

Demain, je ne sais pas trop où je vais ni comment j’irai. Je ne sais pas si mon entreprise grandira comme je le souhaite. Je ne sais pas non plus si je serai propriétaire. Mon estomac déborde de points d’interrogation et de projets.

Mais, j’ai cette petite voix qui me console et me conforte. Je sais qu’importe mes choix, je continuerais à écouter ma voix intérieure. Je le sais parce que je fonctionne comme ça depuis trente ans et que je ne sais pas vraiment faire autrement. Je sais Holly et sa bouille qui illumine mon monde. Je sais la beauté des étoiles et du ciel.

Et plus que tout, je sais ma chance. Je sais ma chance de réaliser doucement, et depuis dix ans, mes rêves. Je sais ce livre que je porte avec Sandra et qui me glisse de la lumière dans les yeux. Je sais les voyages l’amour et l’amitié. Je sais l’émotion éprouvée à la vue de la mer et des retrouvailles avec l’orage. Je sais la magie de la vie.

 
 

A 20 ans, j’avais peur du quotidien des grands.
A 30 ans, je traverse des montagnes russes.

 

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Kit pour la fête des mères à imprimer

Je vous écris d’un café de Lisbonne. Il fait un soleil d’été. J’avais hâte de partager cette création pour la fête des mères avec vous. Chaque année, j’essaie de préparer un petit quelque chose pour la fête des mères, une création à offrir pour dire « maman, je t’aime et je pense à toi ». C’est une création que j’apprécie particulièrement préparer :  j’ai alors à nouveau dix ans et je retrouve mon enthousiasme à imaginer une surprise pour ma maman.

Kit pour la fête des mères à télécharger

 Cette année, j’ai imaginé des petites choses à la fois épurées et enfantines. Je voulais que l’on retrouve ce lien de l’enfance tout en conservant une certaine esthétique.

Je me suis aidée et inspirée du livre Petits dessins au stylo billes qui permet justement d’apprendre à faire des dessins, de manière simple, et étapes après étapes au stylo bille. Le livre vient compléter les dessins au stylo bille pour les chiens et les chats dont je vous avais déjà parlé : vous vous souvenez des faire-part pour chien et chat ?

 


Kit pour la fête des mères à télécharger

Dans ce kit pour la fête des mères, vous trouverez trois phrases et dessins : « maman, je t’aime plus que l’océan et l’univers », « maman, je t’aime plus que des fleurs », « maman, je t’aime plus que mon doudou » déclinées sur différents supports . Sur chaque création, vous trouverez un petit cœur comme fil conducteur. Je les ai imaginé comme un triptyque.

Pour mettre en valeur ce kit pour la fête des mères, je vous conseille d’utiliser un joli papier à grain lors de l’impression.

Kit pour la fêtes des mères

Vous trouverez dans le kit pour la fête des mères  :
– Des affiches au format A4. Vous pouvez les imprimer au format carte postale en réduisant la taille lors du paramétrage de l’impression.
– Des étiquettes cadeaux à découper
– Des marque-pages. Pour les marque-pages, vous pouvez faire un petit trou tout en haut et glisser un joli ruban afin de finir la création.

 

Kit pour la fête des mères à télécharger

Comment faire des dessins et des kit à imprimer en ligne ?

Vous êtes plusieurs à me demander comment je réalise les dessins/motifs et mes créations à imprimer et quels logiciels j’utilise.

C’est assez simple et intuitif. Je prends une feuille, un stylo et je fais mon dessin sur papier. Quand il est fini, je le scanne ou je le prends en photographie avec mon iPhone. Je n’ai pas besoin d’une qualité exceptionnelle puisque le dessin va seulement me servir de calque et de base.

J’utilise alors Illustrator et je repasse, chaque trait, avec l’outil Plume. J’ai pris l’habitude de le faire directement avec mon trackpad. Je travaille finalement très peu avec une tablette graphique. Une fois que j’ai terminé de repasser sur les traits. Je peaufine à l’écran. C’est parfois aussi le moment où j’ajoute des couleurs.
Pour la mise en page – par exemple, pour faire des étiquettes, des semainiers ou des marque-pages – , je travaille sur Indesign.

Indesign et Illustrator sont deux logiciels de la suite Adobe. Ce sont des logiciels professionnels et payants. Je paie un abonnement chaque mois. Ils demandent un certain temps de prise en main mais ils sont magiques une fois que l’on commence à savoir les utiliser. Je les compare parfois à l’utilisation d’une voiture. C’est un peu long pour apprendre à conduire, mais une fois que l’on sait conduire, on devient tout à coup bien plus libre !

Si vous avez envie que je vous prépare des tutoriels pour vous expliquer un peu plus le fonctionnement de ces deux logiciels, glissez-moi un mot avec vos besoins et questions.

Vous trouverez aussi des solutions gratuites Opensources : Sribus pour Indesign, et Inkscape pour Illustrator.

 

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