Les jolies cartes à imprimer

Cartes à imprimer


Je manque toujours de cartes, de jolies cartes. Pour dire Merci, Je pense à toi, Tu me manques. Ou pour accompagner, plus simplement, un contrat ou un petit papier.

En général, et au moment d’envoyer le courrier, je me rends compte qu’aucune carte ne m’attend sagement sur le bureau. A chaque fois, je me promets de prendre le temps d’en préparer. Je fouille alors rapidement dans mon Mac à la recherche de la perle rare. Parfois, j’en fabrique une un peu trop rapidement. Et, j’imprime le tout sur du joli papier en pensant qu’il faut vraiment que je prenne le temps d’en fabriquer des un peu plus jolies.

J’ai pensé que je ne devais pas être la seule à ne pas apprécier accoler à mes courriers avec un simple post-it. Que je ne devais pas être non plus la seule à aimer envoyer des lettres qui donnent le sourire.

Alors, voilà, j’ai fabriqué un petit set de cinq cartes. Cinq cartes pour glisser un peu de bonne humeur. Pour le télécharger, c’est par ici : télécharger les cartes à imprimer. Pour le format, c’est du A6 mais bous pouvez bien sûr les imprimer en plus petites/grandes.

Dites-moi d’ailleurs, cela vous dirait que je vous propose des sets de cartes thématiques – pour dire merci, pour souhaiter un joyeux anniversaire, etc. Si vous avez des idées, dites-moi.

Cartes à imprimer


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25 ans, 25 sourires

25

25 ans, c’est l’âge parfait pour grandir. Un peu. C’est l’âge pour croire en ses rêves de petites filles et les réaliser. Plus que jamais.

25 ans, c’est l’âge pour faire des folies. Pour se rappeler qu’on n’est pas sérieux et qu’on a encore la vie devant soi. Pour prendre un billet d’avion pour le bout du monde un soir d’avril. Pour faire des projets à dormir debout à deux quatre six huit mains. Et, faire en sorte qu’ils tiennent justement debout. C’est l’âge pour écrire un roman, découvrir le yoga, apprendre à le tango argentin.

25 ans, c’est l’âge où l’on finit ses études, où l’on entre dans la cours des un peu plus grand. Sur la pointe des pieds. En tremblant, et avec le sourire. Où on commence à faire ce qu’on aime, tous les jours. Où on met enfin en pratique ce que l’on a appris à l’école. Et beaucoup de soi. Et, où, on se sent pousser des ailes. C’est l’âge pour créer des jolies choses, pour s’apprendre, pour s’envoler.

25 ans, c’est l’âge pour rêver mille voyages mille poèmes milles lieux. C’est l’âge pour désirer, pour étreindre, pour aimer. A la folie. 25 ans, c’est l’âge où on a encore des poignées de premières fois à savourer. C’est l’âge où l’on apprend doucement à se regarder dans les yeux. A se dire merci.

Aujourd’hui, j’ai vingt-cinq ans et je crois que pour la première fois depuis bien longtemps, je n’ai plus peur de grandir.

 


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Des nouvelles, des sourires

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Depuis quelques semaines, le soleil est revenu. Les fenêtres sont ouvertes. A Toulouse, le ciel est bleu-bleu-bleu. Mes épaules sentent le printemps. Quand j’éteins le Mac le soir, il fait encore jour. Alors, je me dis que les beaux jours arrivent. Qu’ils sont presque là. A nouveau, je prends le temps. J’ai le temps. C’est l’effet soleil, l’effet avril.

Je découvre Toulouse, son atmosphère propre au Sud, son charme. Les premiers verres en terrasse ont un goût de bonheur. Les soirées, de vacances. J’ai retrouvé le goût de lire. Ce moment précieux en tête-à-tête où l’on se retrouve. Où les mots épongent les émotions de la journée. Certaines n’avaient jamais vu la mer m’a bousculé tout entière, L’entreprise du bonheur m’a donné des ailes, Je vais mieux m’a insufflé un peu de vie.

Holly grandit. Un peu. Beaucoup. Elle devient plus autonome. Elle monte sur le canapé, fait semblant de ne pas comprendre quand on lui dit non et vient se blottir contre nous pour dormir. Elle est minuscule et nous apprend tant. Hier, j’ai reçu un faire-part fabriqué il y a quelques mois. Serrer son travail, le toucher, l’observer. Fermer les yeux et sentir le bonheur monter en soi.

Début avril, j’ai dit oui oui oui à deux projets. Trois fois oui. La confiance que l’on m’apporte me donne une énergie incroyable, une confiance insoupçonnée. Je ne sais pas sur quoi je travaillerai dans quelques mois, je ne sais pas si cela sera toujours aussi doux aussi intense aussi. Je sais juste que pour le moment c’est la meilleure décision que j’ai prise. Les possibilités sont ouvertes. Ne pas savoir de quoi le futur sera fait est finalement un joli cadeau. Un pari un peu fou sur l’avenir. Chaque jour, je pars à la recherche de surprises. Je me sens vivante. Incroyablement vivante.

J’ai des envies de clichés espagnol. De Barcelone, de bikini et d’eau salé. De livres légers dévorés sur la plage et de Tinto de verrano. En attendant, j’écoute Que viva la noche, je prépare du pan con tomate et j’envoie des mails en espagnol. Je compte les jours jusqu’à mes vingt-cinq ans. Je me dis que c’est un joli âge pour croire en ses rêves.

C’est fou comme la vie semble sourire, comme c’est joyeux de faire ce qu’on aime.


Et oh, on est plus de 1000 sur la page Facebook. Merci, merci, merci. Vous êtes des merveilles.

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