Kit pour jolies plantes à imprimer

S’il y a bien une chose que j’aime plus que tout depuis que j’ai mon appartement est d’avoir des petites plantes, et des bouquets de fleurs, pour le rendre plus vivant et vert.

Kit pour mes plantes vertes à télécharger

Je repars rarement d’ailleurs du marché sans une plante ou quelques fleurs. C’est aussi une attention que j’aime offrir puisque je peux le personnaliser facilement avec un joli pot maison (et à mes yeux, quand j’offre un petit cadeau, le personnaliser pour la personne est très important !) et que cela reste abordable en terme de coût.

Dans ce sens, j’ai imaginé un kit pour jolies plantes à imprimer.

L’idée est toute simple : je vous explique ? Il vous suffit de prendre une boite de conserve vide pour glisser votre petite plante à l’intérieur et de retirer l’étiquette dessus.

Vous avez deux possibilités :

  • Vous la mettez directement dans ce pot : vous pouvez alors faire des trous en dessous de la boite de conserve pour éviter d’avoir de l’eau stagnante avant de la rempoter
  • Vous vous en servez comme cachet-pot. Vous n’avez alors qu’à prendre une plante un petit peu plus petite et la glisser à l’intérieur. C’est ce que je fais et qui me semble le plus pratique.

Ensuite, vous imprimez un des trois motifs fleuris ci-dessus sur du papier un peu épais. Vous mesurez la hauteur de votre pot. Vous rapportez cette hauteur sur le papier pour la découpe. Vous mettez de la colle sur le verso, et vous le collez sur la boite de conserve.

Et voilà, votre joli pot est prêt !

En feuillant les 250 motifs à peindre et Inspirations natures, j’ai eu envie d’imaginer un petit kit fleuri pour mettre à l’honneur les plantes. Je suis persuadée que les choses les plus simples sont souvent les plus jolies.

 

Petites astuces pour s’occuper des plantes d’intérieur

  • Mettez des plantes dans des caches pots et pas directement dans un pot « non troué ». Cela vous permettra d’arroser vos plantes et de ne pas laisser l’eau stagner au fond du pot.
  • Au moment d’acheter votre plante,  prenez soin de connaitre ses goûts et ses besoins. Généralement, une plante a besoin de lumière – mais pas d’un soleil franc, pour ne pas la bruler. J’arrose mes plantes, en moyenne, une fois par semaine tout en m’adaptant au saison – en période de canicule, je peux les arroser jusqu’à trois fois par semaine. Je les mets directement sous l’eau du robinet en m’assurant que l’eau ne s’écoule plus avant de la remettre dans le cache-pot. Pour vérifier si votre plante a besoin d’eau, c’est simple : touchez la terre ! Entre deux arrosages, la terre doit avoir séchée.
  • Ne mettez pas de l’eau trop froide et arrosez les avec une eau à température ambiante (et oui, une plante se traite en douceur !). Vérifiez au moment de l’acheter que votre plante supporte l’eau du robinet. Vous pouvez, si vous avez un balcon ou un petit jardin, récupérer directement l‘eau de pluie.
  • Au printemps, vous pouvez sortir vos plantes. Elles seront heureuses de prendre un peu l’air extérieur !
  • Si votre plante grandit et que les racines commencent à sortir, faites-là déménager dans un pot un peu plus grand.
  • Murmurez lui des mots doux (oui, oui, c’est important !).

Le kit pour les plantes à imprimer contient :
– des grosses étiquettes pour vos pots. Vous aurez besoin d’une boite de conserve de taille moyenne et d’un peu de colle
– des fiches pour vous souvenir des goûts de vos plantes
– un calendrier d’arrosage annuel.

Vous nous montrerez vos petites plantes ?

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De la beauté

 


 

 

Parfois, je regarde un paysage, un lieu, un visage et je vois tout à coup jaillir une sorte de poésie et d’harmonie naturelle. Je le ressens. Ce n’est pas rationnel. Ce n’est pas forcément de l’art. C’est instinctif et intuitif. Je crois que c’est finalement ma vision de la beauté. Je sais que mon ressenti n’est pas universel. C’est ma sensibilité et mon regard sur le monde à un instant précis, et c’est très bien comme ça.
Je ne saurais pas forcément expliquer pourquoi je trouve ceci ou cela beau. Je fais confiance en mon intuition et en ma petite voix intérieure. Il me suffit de quelques secondes, quand je regarde une photographie par exemple, pour savoir si elle me touche.

Et dans tous les cas, l’explication vient toujours après l’émotion. Les mots tenteront de coller au réel, de rationaliser ce qui se passe à l’intérieur.
Cette entrée, et cette vue-là, me collent des frissons. Sûrement, le mélange de briques, de verdure, l’intérieur qui se fait extérieur, la douceur du velours des canapés bleus, la luminosité et ce minuscule lampadaire au dessus.

Ce dont je suis sûre, en revanche, est qu’assise au bord de la piscine, en regardant cette vue ; je me sentais heureuse, confiante et apaisée comme, à chaque fois, que je tombe nez à nez face à quelque chose de beau.

 

Alors, je cherche la beauté un peu partout, j’ouvre les yeux. Je guète et j’observe. Je crois au pouvoir de la beauté. Vous aussi ?

 

 

 

 

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Le Donjon, Etretat


 

Il se passe toujours quelque chose de particulier lorsque je dors, quelques jours, dans une maison d’hôtes ou un hôtel.

A l’arrivée, je suis toujours un peu impressionnée. J’ouvre les yeux. J’observe. Je ressens les espaces, les bruits, les matières. Je cherche ma place dans cet espace inconnu et j’essaie de comprendre la petite vie dans cet ailleurs. Son fonctionnement interne, ses codes implicites. Je tâtonne et je me fabrique des repères éphémères.

On est arrivés en début d’après-midi au Donjon. La veille, on s’était arrêtés dormir à l’Ile de Ré. On avait eu un temps incroyable et cela sentait bon les vacances. On avait mangé des huitres face au front de mer en imaginant les couleurs de la Normandie en juin. Quelques heures plus tard, on ouvrait les yeux pressés de découvrir Etretat. Sur la route, le jour se levait et je serrais fort ma chance de vivre ces instants-là.

Alors, durant plus de six heures, on a observé les couleurs du ciel au fil des kilomètres et des heures. On a croisé les champs à perte de vue, la mer et, entre deux averses, le soleil. On a fait un détour pour déjeuner à Honfleur et quand on a découvert le chemin, en début d’après midi, pour arriver jusqu’au Domaine Saint-Clair, on avait l’impression d’être au bout du monde. Perché sur les hauteurs d’Etretat, on découvrait notre nid normand pour les jours à venir.

Ce jour-là, on est restés au domaine et on a apprivoisé doucement le lieu. On a ouvert les yeux, dormi, lu, savouré un cocktail face à la cheminée, diné, dormi à nouveau. On a ralenti et on s’est laissé bercer par la douceur du Donjon.

 

 


 

Et puis, il y a cette première nuit qui transforme brutalement l’expérience. La première nuit où l’on découvre la douceur des draps, l’obscurité et la musicalité de la chambre. Où j’ai dormi, comme souvent, un peu mieux qu’à la maison sans me réveiller une seule fois.

Au réveil, il y avait la fenêtre, perchée sur les falaises, qui relie la chambre vers l’extérieur. Qui rappelle, brusquement, que oui, sa maison à soi est un peu loin et que le dépaysement est vivifiant.

Et puis, sans trop réfléchir, j’ai enfilé un short pour descendre prendre le petit déjeuner. Les pieds-nus, les cheveux emmêlés et les joues encore froissées par le des draps de la nuit : tout à coup, l’hôtel est devenu la maison. On est rentrés dans l’intime. On a mangé avec les doigts un croissant en sirotant un chocolat chaud. On a oublié les codes.

On était un peu chez nous dans cet ailleurs.

 

 

 

 

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