Découvrir une ville,

Quand je découvre une ville, je le fais en partie à travers ses bars et ses restaurants. J’ai alors l’impression d’en découvrir une nouvelle facette.  Lorsque je pousse la porte d’un restaurant, j’aurais en ressortant une tout autre image de la ville, bien plus réelle. C’est l’occasion pour la première fois du voyage de discuter avec des personnes de la ville et du pays, de les écouter, de voir la façon dont ces personnes nous accueillent. C’est toujours un moment unique : ces premières paroles qu’on échange avec l’autre, avec celui d’ici, celui qui restera lorqu’on repartira bien trop tôt.

J’aime m’émerveiller lorsque je m’aperçois que la personne en face de moi aime vivre ici et qu’elle n’a qu’une envie me faire découvrir sa ville de l’intérieur.  A travers quelques phrases , elle colorie soudain ses rues et ses habitants. Je mange alors les mots de la personne. Je bois ses sourires. Je sais qu’à ce moment-là, la ville devient vivante. Son  âme pétille. Des personnes l’habitent et ne font pas que la piétiner. A l’inverse, lorsque le restaurateur ne nous décrochera pas un mot ou un sourire, j’en sortirai déçue avec la triste impression de n’être qu’un client-objet de plus.

Je crois que chacun de mes voyages pourraient se racontaient à travers ses rencontres furtives.

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A la découverte de Poitiers,

Lundi dernier, j’étais à Poitiers. Je découvrais la ville. Le ciel était presque noir. Il tenait la promesse d’exploser à tout instant. J’ignorais encore  que cette ville allait devenir mon lieu de résidence pendant deux ans. Je m’émerveillais alors plus comme une touriste que comme une future poitevine.

Dans la voiture, j’ouvrais grand les fenêtres et je montrais à Anthony tout ce qui me paraissait joli. La météo importe peu dans ces moments-là. Lorsqu’on est arrivés sur les hauteurs de la ville, la vue panoramique m’a époustouflée. Je me sentirais bien ici, j’en étais persuadée. On a marché dans les ruelles de la vieille ville. La promenade fut agréable.  Tout est calme et si apaisant ici. Avant d’aller au restaurant, on a pris deux mojitos dans un bar près du centre. J’aime ces débuts de soirée où l’on refait le monde à la terrasse d’un café. Les minutes se sont étirés jusqu’à ce que le soleil se couche.

A l’intérieur, j’étais barbouillée de paillettes. Demain à 9 heures, je jouerais mon avenir, notre avenir. Il faudrait lancer les dés et  se surpasser. Le résultat du concours déterminerait nos deux futures années. La soirée fut agréablement douce et légère. On a beaucoup ri et parié sur l’avenir. A nous deux, on éclaboussait de projets et d’hypothèses. La pression s’essoufflait au fil des mots.  On ignorait demain, on était heureux. Le restaurant japonais était loin d’être parfait mais la soirée l’était. En sortant du restaurant, on s’est baladés à la découverte de Poitiers la nuit. Tout est calme et si apaisant ici.

Lundi dernier, j’ai commencé à apprivoiser ma future ville.

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Des surprises d’un autre temps,

J’ai fini les modifications pour le moment ! Merci pour vos conseils et votre aide. N’hésitez surtout pas à me dire s’il y a des bugs ou des petites choses qui clochent encore. J’essayerais de le corriger.

Je suis plutôt contente du résultat. J’ai hésité pas mal de temps entre un fond gris-blanc ou rose. J’aimais le rose  mais cela faisait peut-être un peu trop « bienvenue au pays des bisounours ». Alors, j’ai opté pour le gris avec (quand même !) des touches de rosé-orangé pour les titres. C’est plus neutre. Je voulais aussi des couleurs plus claires, plus simples qui n’assommeraient pas à première vue. Enfin je voulais un blog qui me ressemble le plus possible en somme !

Je finaliserai le thème plus tard. J’ai déjà une ribambelle d’idées. Là, j’ai l’impression d’avoir des morceaux de Photoshop et de CSS qui me collent au doigts. Alors, on verra plus tard pour le reste. Puis, j’ai aussi de l’histoire de l’art espagnole qui s’impatiente.


Pour l’image au dessus du texte, c’est un clin d’oeil au colis-magique que m’a envoyé Camille. Alors merci, merci mille fois.

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