Aller au cinéma et se faire de l’argent, c’est possible ? vous êtes sûr ?

Aller au cinéma et même être payé pour, cela semble une arnaque, non ?

Je ne sais pas si vous connaissez le site CesoirCiné.fr qui permet d’être d’être payé pour aller voir un film en échange d’un questionnaire à remplir sur le film vu. Bon bien sûr, vous ne choisissez pas le film, c’est CesoirCiné.fr qui le choisit pour vous ! Il parait qu’on ne peut pas tout avoir, non ? L’idée est sympa. Cela permet d’aller voir des films qu’on n’aurait pas forcement été allé voir au cinéma et surtout de voir un film au cinéma gratuitement.

Alors bien sûr, il faudra faire une analyse détaillée et non une petite analyse riquiqui de rien du tout. Un professionnel ne payera pas pour lire « le film est super cool ». Il faudra prendre le temps de  réfléchir, d’analyser et de rédiger une vraie critique.

Quand Anthony m’a parlé du site tout à l’heure, on a trouvé l’idée trop chouette pour être vrai. Après quelques recherches su le site ( à vrai dire, j’ai épluché toute la FAQ !  Je suis un peu méfiante pour ce genre de site trop beau pour être vrai) et sur Google :  cela ne semble pas une arnaque. Le site semble même plutôt sérieux. Le concept est tout jeune et on ne trouve pas énormément d’informations. Je n’ai néanmoins trouvé aucun avis négatif. Si vous avez testé le site avant moi, dites-moi ! Je serais curieuse d’avoir votre avis. Je m’emballe parfois un peu trop vite, – peut-être- comme ce soir !

Le concept semble simple, et loin d’une arnaque. Je n’ai jamais essayé de gagner des places de ciné que cela soit avec CityDeal qui proposait des places de cinéma à 1 euros ou Qype qui offrait des places de cinéma tous les 30 messages postés sur le site. A chaque fois, je trouvais l’idée trop périlleuse et compliquée pour une place de cinéma. Puis même Julien Courbet en parle sur son blog, alors cela n’est pas une arnaque non ?

Faire une analyse précise, donner mon avis et savoir que des professionnels du cinéma liront mon avis et le prendront sûrement en compte: cela m’enchante et flatte mon égo. C’est mon âme littéraire qui ressort là ! J’aime beaucoup analyser ce que je viens de voir ou de lire. J’ai d’ailleurs souvent pensé à être critique littéraire ou culinaire. Le parcours pour y parvenir semble un peu trop compliqué. Je garde néanmoins mon goût de l’analyse, et donner mon avis sur CesoirCiné.fr cela serait un bon compromis. Donner son avis, trancher, juger ;  c’est se sentir un peu Dieu un court instant.

Si vous voulez aller jeter un oeil sur CesoirCiné.fr et vous faire votre propre avis, c’est par ici que cela se passe.

Bon voilà ! Antho et moi, nous nous sommes inscrits. On va essayer et je vous tiendrai au courant, promis. J’esspère juste qu’on sera sélectionnés pour voir les mêmes films sinon cela sera tout de suite moins drôle. Quoi qu’il en soit, on n’est pas obligés d’accepter toutes les missions que l’on nous propose (et heureusement ! ). Je me vois mal aller au cinéma toute seule voir un film d’horreur. Argh !

Si vous voulez vous inscrire, c’est par ici et avec mon code pour vous parrainez, c’est encore mieux. Pas folle la guêpe ! J’espère juste ne pas être une nouille trop naïve de l’Internet.

Alors, vous en pensez quoi ?


Oh, en parlant films/série ; dans le dernier article sur mon niveau en anglais, vous me parlez toutes des films/séries que vous regardez en VOST, alors alors vous regardez quoi ? Je veux savoir !

La photographie est d’Anthony. Il paraitrait que c’est de l’Art contemporain, (il parait).

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Je suis nulle en anglais !

To see a World in a Grain of Sand
 And a Heaven in a Wild Flower,
Hold Infinity in the palm of your hand
And Eternity in an hour.
William Blake, Auguries of Innocence

Hier, j’achetais Assimil Anglais en pensant que j’arriverais peut-être un jour à renouer avec cette langue, qu’il le faudrait bien. J’ai un problème avec l’anglais. Je ne supporte pas cette langue. Je ne supporte pas de lire ou d’écouter en anglais. Mon esprit se ferme et je ne comprends alors plus rien. Au lycée, j’étais pourtant dans une section européenne. J’avais même quelques cours scientifiques en anglais et une correspondante hollandaise avec qui j’échangeais dans cette langue et sans réel problème.

Pourtant, depuis le bac, je fuis minutieusement cette langue. Alors voilà, cela ne me dérange pas de décortiquer un texte en italien, en espagnol, en latin même, mais pas en anglais. Lorsque j’ouvre une page internet en anglais, je la ferme aussitôt. Je cherche son identique en français. Et si je ne la trouve pas, j’y reviens à reculons. Alors que pendant mes années lycées, je ne jurais que par les films en VO et si possible sous-titrés en anglais : maintenant, il me faut des sous-titres en français. Sinon, je refuse de voir le film.
J’affirme depuis bientôt quatre ans être nulle en anglais et vouloir m’y remettre. Pourtant, je ne le fais pas. En Espagne, lorsqu’on tente de me parler en anglais en croyant me faciliter la tâche, je rétorque toujours que je préfère parler en espagnol ou en italien pour des Erasmus italiens. Que j’ai vraiment du mal cette langue soit disant universelle.Mon expérience Erasmus ne m’aura pas permis de m’améliorer, comme pour la plupart, en anglais. Je fuis cette langue, c’est presque maladif.

Bref, je suis une nouille en anglais.

L’université de Poitiers m’a envoyé un lien vers un test européen d’anglais – Dialang – afin de connaître mon niveau et pouvoir me mettre dans un groupe. Je ne l’ai pas encore fait . Je connais déjà mon minuscule niveau. J’ai un peu honte. Je pense même être niveau -100 d’où l’achat de l’Assimil Anglais. Sur le site de ma future formation, ils évoquent la maitrise de l’anglais comme «indispensable pour réussir dans cette formation », et plus particulièrement la maitrise technique. Gloups.


Cela étant dit, je retourne me faire ami-ami avec l’anglais et Assimil. La citation en anglais, ça fait partie du processus de réconciliation de la langue et les photographies n’ont absolument rien à voir.

Si vous avez de la motivation en stock… .


Si vous voulez en savoir plus, sur mon expérience Erasmus, vous pouvez aller à cette adresse.

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Des nouvelles, des miettes

Si je donne très peu de nouvelles, c’est que je continue ma course folle. Nous partons pour l’océan dans une poignée de minutes et demain nous serons à Poitiers.

J’accumule les feux d’artifices et souvent j’ai l’impression d’avoir à nouveau quatre ans au dessous des lumières. J’envoie des colis-sourires et des lettres multicolores. Je me partage entre Toulouse et Poitiers. Parfois, je garde un petit garçon de trois ans qui colore mes journées. Vendredi, nous étions à Bordeaux. La soirée fut délicieuse. La sangria posé sur la table, les tapas avaient un goût de vacances et d’éternité. On a annulé notre séjour à Barcelone, un peu trop tard. Parfois, il faut être un peu sérieux et je n’aime pas ça.

Je travaille pour une agence de com’ en tant que rédactrice web. Et, j’y crois, j’y crois. Cette nouvelle expérience me remplit d’énergie et de rêves. Lorsque le responsable me dit qu’il est très content de mon travail, mes lèvres dessinent un grand sourire. Les compliments sont une caresse qui m’envole vers l’avenir. Je reçois des mails de l’université de Poitiers. Et, je ne peux m’empêcher d’avoir une boule au ventre. Cette obsession de ne pas être à la hauteur m’engloutit. Je voudrais juste croire un peu plus en moi, parfois.

La réponse au mail de Pablo est en attente. Je l’ai bien lu, je voudrais y répondre, mais. Je n’ose pas écrire que le voyage est encore entre parenthèses. Alors je ferme les yeux et je repousse encore un peu ma réponse. Je croise les doigts pour y passer un mois, voire plus. Je rêve de m’y installer dans deux ans, pour de vrai, pour une durée indéterminée. Lorsqu’on en parle avec Anthony, j’ai des étoiles dans les yeux comme rarement.

* La photo, c’est une rue de Bordeaux. Je ne sais pas trop pourquoi mais je l’aime bien.

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