Capharnaüm.

Parfois, il serait préférable de se taire, de ne plus rien ajouter. C’est alors là que tout explose, que tout l’ordre se transforme en feu d’artifice. Lorsque le bonheur semble si près que tout s’écroule, le vertige a lieu. Il n’y a alors aucune dialectique de l’ordre et du désordre dans mon esprit. Je n’ai récupéré que le versant négatif. Les choses, les petits papiers et les pensées s’entassent. Capharnaüm.

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Note de début de semaine,

Disney dessine des sourires sur mes lèvres. Dans trois semaines, tout s’adoucira enfin. Tout s’apaisera dans mon cœur. La tension s’évanouira peu à peu. Hier, au milieu de la nuit, j’ai commandé deux pulls en cachemire pour un peu plus douceur. Un pour lui, un pour moi. Se pelotonner à l’intérieur les journées d’hiver. Je lis Rousseau et je me surprends à penser souvent à autre chose. Alors, je reviens en arrière et j’essaye de me concentrer. Mon coeur joue aux montagnes russes et s’effraie du futur. Les tournures hypothétiques sont beaucoup trop nombreuses, et les rêves s’essoufflent.

Il y a trop de nuages en suspension.

Demain, je conduirai à nouveau. Cette fois, il va falloir tenir bon. Il faut arrondir les angles, un peu, et allumer la lumière. Faire que non, rien n’est une fatalité. Et, s’en convaincre. Une fille, c’est fort.

La vie est un feu d’artifice.

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