Capharnaüm.

Parfois, il serait préférable de se taire, de ne plus rien ajouter. C’est alors là que tout explose, que tout l’ordre se transforme en feu d’artifice. Lorsque le bonheur semble si près que tout s’écroule, le vertige a lieu. Il n’y a alors aucune dialectique de l’ordre et du désordre dans mon esprit. Je n’ai récupéré que le versant négatif. Les choses, les petits papiers et les pensées s’entassent. Capharnaüm.

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