Et un nouveau blog de fille, et un !


Le blog d’Hélène : sourisdesvilles.fr

Hier, Hélène publiait son première article sur son tout nouveau blog. Je ne sais plus vraiment comment est venue l’idée que je fabrique son thème. C’est la première fois que je collabore avec une personne qui partage la même vision du web et les mêmes références que moi. Avec Hélène, on a le même âge, les mêmes aspirations, les mêmes goûts absurdes. Cela fut une expérience enrichissante et agréable comme je pouvais l’imaginer. C’est doux de travailler avec une personne qui vous comprends, vous écoute, vous guide; une personne qui vous balance des super idées comme si de rien n’était.

Alors, je crois pouvoir dire que l’on a été assez efficaces pour créer son bébé. On a travaillé main dans main pour parvenir à un blog  à son image. Hélène voulait un thème simple,  épuré, à prédominance de blanc. Il fallait que les articles puissent respirer, qu’ils aient de l’espace. Jessica s’est occupée de la jolie bannière. La charte graphique du thème a été naturellement déterminée à partir de celle-ci: du rouge, du rose et du violet. On voulait un rendu à la fois funky et sobre. Avec Hélène, on aime bien les contradictions. Je crois qu’on a mis des heures à choisir les couleurs exactes à coup de « ah, c’est trop doux, trop clair, trop foncé, trop éloigné des couleurs prédominantes de la bannière ». Je vous rassure le choix du reste n’a pas été plus simple. On est des pinailleuses professionnelles.

Bref, on s’est bien amusées, on a beaucoup ri. On a découpé, gribouillé, hystérisé et on y est. Il est enfin en ligne, pour vous y rendre, l’adresse à retenir est http://sourisdesvilles.fr/ . Hélène écrit merveilleusement bien – et je ne dis pas ça parce que c’est ma copine -. Elle est drôle, attachante et trouve toujours le mot juste pour nous coller le sourire aux lèvres. Je suis sûre que vous ne serez pas déçus. Elle raconte comme personne ses « histoires de dinde » : c’est marrant, léger, et mignon-comme-tout !

Alors, comme toujours dans ces cas-là, si vous trouvez des bugs, des incohérences, des choses étranges : n’hésitez pas à nous glisser un petit mot. Cela nous sera très utile.



Aussi, et comme on parle justement site/blog, dans le cadre de mon projet de fin d’études, je dois réaliser une production web. Cela se traduira sûrement par un site web (site vitrine, blog – voire e-boutique -). Je recherche donc une personne qui voudrait bien me faire confiance – l’inconsciente ! – pour la création de son site.

J’ai beaucoup apprécié ma collaboration avec Hélène. Et du coup, je voudrais bien créer un site pour un commanditaire avec qui je partagerais globalement la même vision du web. Alors, créatrices, artistes illuminées, demoiselles à projets fous-fous, je vous attends – je dis demoiselles, mais je prends bien sûr les propositions masculines aussi -.

Si vous êtes donc à la recherche d’une jeune bidouilleuse de site web et que vous recherchez justement à faire faire votre site, n’hésitez pas à m’envoyer un petit mail à may@vie-de-miettes.fr. Là aussi, et comme toujours, je vous répondrais rapidement et avec le sourire !

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Etiquettes nuages à imprimer


DIY : des jolies étiquettes à imprimer

L’année dernière, j’ai créé et imprimé rapidement une poignée de nuages en guise d’étiquettes. Je déteste écrire à même le trieur le nom de mes cours. Comme je n’avais pas d’étiquettes sous la main, j’ai dessiné quelques nuages sous Illustrator. Je trouve ça chouette des nuages. C’est un peu un appel à la rêverie, à la poésie. Et puis, c’est moelleux des nuages, on a envie de s’y lover.

Je voulais des étiquettes discrètes mais mignonnes. Ni vu ni connu, je t’embarque dans un univers cotonneux et doux. J’ai besoin d’un joli cadre de travail pour me concentrer et me donner envie de travailler. Au final, je les ai trouvées parfaites : assez petites pour passer facilement inaperçues, assez mignonnes pour m’envoler. J’en ai collé tout le long de l’année dès que je devais mettre un titre. Elles me mettent le sourire aux lèvres. Alors sur le dossier impôts ou factures, c’est parfait.

J’avais envie de les partager avec vous. J’en ai faites des toutes neuves et en deux versions : une version simple d’étiquettes à imprimer, et une autre version double à glisser où vous voudrez. Il suffit de les plier et coller par leur milieu. J’en ai éparpillé un peu partout : un trombone triste qui passe, et le voilà qui s’envole et sourit, un sachet de thé seul et hop je lui colle un nuage au dos. Cela fonctionne aussi sur des petites piques pour décorer cupcakes et autres bonnes choses. Et puis, cela change des éternels (mignons) fanions. Il suffit parfois d’un rien pour ajouter un petit plus. J’ai trouvé ces étiquettes nuages parfaites pour l’ajouter.

Du coup, vous pouvez les télécharger ci-dessous. Il y a donc trois petites versions :

Faites-en bon usage !


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Une vie plus simple (ou l’art de la simplicité)


Vers une vie plus légère, plus simple

Avec le temps et les voyages, j’ai appris à ne conserver que l’essentiel. Le cheminement s’est fait en douceur. J’en ai pris conscience plus tard. Fut un temps où lorsque je partais pour quelques jours un week-end ou un mois, j’amenais toute ma maison colorée sur mon dos. J’avais un besoin viscéral d’avoir à mes cotés tout un tas d’objets inutiles: des crèmes, des dizaines de vêtements, des livres, des objets absurdes. A chaque fois, je ne touchais pas à la plupart des choses dans la valise. Pourtant les savoir à mes cotés, me rassurait, me berçait. Je la remplissais à coup de « au cas où », de « on sait jamais », et « cela pourrait être utile si ».

Je déambulais avec ma valise plus grosse que moi dans des villes inconnues. Lorsqu’on sautille de ville en ville, de pays en pays, on s’allège. Il n’y a rien de pire que de gâcher une voyage à cause d’un sac trop volumineux. Alors j’ai élagué, allégé. Il fallait être légère, être libre. J’ai jeté par dessus bord tout ce qui n’était pas essentiel.

Peu à peu et au fil des déménagements, je n’ai conservé que l’essentiel. J’ai préféré des matières plus nobles pour mes vêtements. J’ai opté pour la qualité au détriment de la quantité. Je me suis recentrée sur ce qui comptait vraiment pour moi. J’ai appris à me connaitre, à apprendre mes essentiels. A distinguer ce qui n’était qu’un passage, un vent à ce qui était mes goûts véritables. J’achète moins mais mieux et j’ai l’impression de respirer, d’y voir plus clair.

J’apprends à écouter mes envies et mon corps, à être en harmonie. Je suis en quête de jolies choses, de plats exquis, de musique parfaite. Il reste aussi la place pour des parenthèses, des bulles d’air où je peux respirer. Rêver. C’est important de rêver. J’aime plus que tout cette sensation que tout ce que je possède sont des objets choisis, espérés, aimés. Il n’y a rien de passage et qui se meurt dans un coin après quelques jours, rien de trop. Tout semble en ordre et à sa place. C’est une belle collection, une ribambelle arc-en-ciel.

Aujourd’hui, il y a toujours des petites folies. J’ai du mal à entrer dans une librairie sans en sortir avec une poche prête à exploser. Si j’achète parfois des livres sur l’iPad, je regrette toujours le coté matériel du livre. Je suis convaincu qu’un livre se dévore aussi par le toucher. Je voue un culte aux carnets, aux stylos, et plus généralement à tout ce qui est lié à l’écriture. Je les collectionne, les affectionne.

Alors, je me sens bien, plus sereine et légère. Plus en harmonie.



Ce cheminement me fait d’ailleurs penser au livre de Dominique Loreau, l’art de simplicité. Je ne sais pas si vous l’avez lu, ce que vous en avez pensé. Cela m’intéresserait beaucoup d’avoir votre avis. Je l’ai commencé cet été, après en avoir beaucoup entendu parlé sur la blogosphère. Je ne l’ai pas (encore) terminé. J’ai trouvé le début du livre un peu décousu et redondant et je n’ai pas vraiment accrochée. Dites-moi, il vaut le coup que je m’accroche ?

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