Etiquettes nuages à imprimer


DIY : des jolies étiquettes à imprimer

L’année dernière, j’ai créé et imprimé rapidement une poignée de nuages en guise d’étiquettes. Je déteste écrire à même le trieur le nom de mes cours. Comme je n’avais pas d’étiquettes sous la main, j’ai dessiné quelques nuages sous Illustrator. Je trouve ça chouette des nuages. C’est un peu un appel à la rêverie, à la poésie. Et puis, c’est moelleux des nuages, on a envie de s’y lover.

Je voulais des étiquettes discrètes mais mignonnes. Ni vu ni connu, je t’embarque dans un univers cotonneux et doux. J’ai besoin d’un joli cadre de travail pour me concentrer et me donner envie de travailler. Au final, je les ai trouvées parfaites : assez petites pour passer facilement inaperçues, assez mignonnes pour m’envoler. J’en ai collé tout le long de l’année dès que je devais mettre un titre. Elles me mettent le sourire aux lèvres. Alors sur le dossier impôts ou factures, c’est parfait.

J’avais envie de les partager avec vous. J’en ai faites des toutes neuves et en deux versions : une version simple d’étiquettes à imprimer, et une autre version double à glisser où vous voudrez. Il suffit de les plier et coller par leur milieu. J’en ai éparpillé un peu partout : un trombone triste qui passe, et le voilà qui s’envole et sourit, un sachet de thé seul et hop je lui colle un nuage au dos. Cela fonctionne aussi sur des petites piques pour décorer cupcakes et autres bonnes choses. Et puis, cela change des éternels (mignons) fanions. Il suffit parfois d’un rien pour ajouter un petit plus. J’ai trouvé ces étiquettes nuages parfaites pour l’ajouter.

Du coup, vous pouvez les télécharger ci-dessous. Il y a donc trois petites versions :

Faites-en bon usage !


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Une vie plus simple (ou l’art de la simplicité)


Vers une vie plus légère, plus simple

Avec le temps et les voyages, j’ai appris à ne conserver que l’essentiel. Le cheminement s’est fait en douceur. J’en ai pris conscience plus tard. Fut un temps où lorsque je partais pour quelques jours un week-end ou un mois, j’amenais toute ma maison colorée sur mon dos. J’avais un besoin viscéral d’avoir à mes cotés tout un tas d’objets inutiles: des crèmes, des dizaines de vêtements, des livres, des objets absurdes. A chaque fois, je ne touchais pas à la plupart des choses dans la valise. Pourtant les savoir à mes cotés, me rassurait, me berçait. Je la remplissais à coup de « au cas où », de « on sait jamais », et « cela pourrait être utile si ».

Je déambulais avec ma valise plus grosse que moi dans des villes inconnues. Lorsqu’on sautille de ville en ville, de pays en pays, on s’allège. Il n’y a rien de pire que de gâcher une voyage à cause d’un sac trop volumineux. Alors j’ai élagué, allégé. Il fallait être légère, être libre. J’ai jeté par dessus bord tout ce qui n’était pas essentiel.

Peu à peu et au fil des déménagements, je n’ai conservé que l’essentiel. J’ai préféré des matières plus nobles pour mes vêtements. J’ai opté pour la qualité au détriment de la quantité. Je me suis recentrée sur ce qui comptait vraiment pour moi. J’ai appris à me connaitre, à apprendre mes essentiels. A distinguer ce qui n’était qu’un passage, un vent à ce qui était mes goûts véritables. J’achète moins mais mieux et j’ai l’impression de respirer, d’y voir plus clair.

J’apprends à écouter mes envies et mon corps, à être en harmonie. Je suis en quête de jolies choses, de plats exquis, de musique parfaite. Il reste aussi la place pour des parenthèses, des bulles d’air où je peux respirer. Rêver. C’est important de rêver. J’aime plus que tout cette sensation que tout ce que je possède sont des objets choisis, espérés, aimés. Il n’y a rien de passage et qui se meurt dans un coin après quelques jours, rien de trop. Tout semble en ordre et à sa place. C’est une belle collection, une ribambelle arc-en-ciel.

Aujourd’hui, il y a toujours des petites folies. J’ai du mal à entrer dans une librairie sans en sortir avec une poche prête à exploser. Si j’achète parfois des livres sur l’iPad, je regrette toujours le coté matériel du livre. Je suis convaincu qu’un livre se dévore aussi par le toucher. Je voue un culte aux carnets, aux stylos, et plus généralement à tout ce qui est lié à l’écriture. Je les collectionne, les affectionne.

Alors, je me sens bien, plus sereine et légère. Plus en harmonie.



Ce cheminement me fait d’ailleurs penser au livre de Dominique Loreau, l’art de simplicité. Je ne sais pas si vous l’avez lu, ce que vous en avez pensé. Cela m’intéresserait beaucoup d’avoir votre avis. Je l’ai commencé cet été, après en avoir beaucoup entendu parlé sur la blogosphère. Je ne l’ai pas (encore) terminé. J’ai trouvé le début du livre un peu décousu et redondant et je n’ai pas vraiment accrochée. Dites-moi, il vaut le coup que je m’accroche ?

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L’organisateur mensuel mignon à imprimer,


Un organisateur pour s’organiser

Je vous présente le grand-frère du semainier à imprimer, télécharger, adopter : l’organisateur mensuel ! Comme je le disais la semaine dernière, je vais essayer de créer un peu plus cette année et de partager avec vous mes petites créations. Cela fait partie de mes bonnes résolutions de la rentrée. C’est toujours une sensation douce de coller ici ce que j’ai fabriqué, de lire vos commentaires et vos remarques qu’elles soient positives ou négatives. Cela me permet d’y voir plus clair, de mêler mon regard personnel à vos regards. J’ai souvent tendance à regarder mes créations de trop près et de manquer totalement d’objectivité.

En lisant vos messages la semaine dernière, plusieurs d’entre vous m’ont écrit qu’un semainier était un peu trop spécifique pour leur quotidien, et qu’un organisateur mensuel leur semblerait plus pertinent. D’autres m’ont aussi dit qu’un organisateur mensuel couplé au semainier serait parfait pour s’organiser et ne plus rater aucun rendez-vous.

Alors cela fut l’occasion d’essayer de créer cette petite chose. J’ai fait plusieurs versions : une avec un fond blanc comme pour le semainier et quatre autres colorées. Je préfère avec le fond uni, plus simple et plus clair – mais je suis presque sûre que certaines d’entre vous préféreront un organisateur plus coloré -. Du coup, vous avez le choix : vous pouvez vous servir !

J’ai aussi fait une autre version du semainier sans date, qui se transforme ainsi en une sorte d’emploi du temps: pour certaines personnes une partie de leur semaine se répète et n’ont pas besoin d’une semainier par semaine donc. J’ai changé des détails par-ci par-là pour s’adapter un peu plus à cet usage.

Il vous suffit de cliquer sur les images pour les télécharger ci-dessous. N’hésitez pas à me faire des remarques, des suggestions (et des sourires).

Je vous souhaite donc une belle organisation – vous n’avez plus d’excuses maintenant –  !


Les organisateurs mensuels

L’emploi du temps


J’ai imprimé le mien hier soir, gribouillé mon emploi du temps et quelques bidules inutiles. Je ne sais pas encore s’il me sera vraiment utile à vrai dire. Je suis assez attachée à mon emploi du temps virtuel sur l’iPhone/Mac/Gmail disponible partout et nulle part. C’est pratique, rapide et une grande partie se met à jour automatiquement. L’emploi du temps papier a cette dimension humaine en plus. Sur celui-ci, je m’autorise à noter des choses plus inutiles voire anecdotiques. J’esquisse des bulles d’air pour m’aérer à travers des films, des livres, des envies. Je m’amuse à remplir des listes, des « bons ». J’ai l’impression de le rendre plus doux, moins aride.  Plus vivant.

Pour le moment, il est parfait.


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