Note du lundi,

En ce moment, je perds tout. Je passe mon temps à chercher ce que je perds et c’est assez désagréable. Déjà parce que je ne retrouve que moins de la moitié. Et que, je développe un sentiment de culpabilité face à toutes ces pertes. Alors qu’ai-je donc bien pu perdre ? Les clefs de ma voiture, ma carte de métro/bus de Valencia, le chargeur du reflex, puis le câble pour mettre les photographies sur l’ordinateur. Mes cours de bioéthique. Le socle du GPS. Le stylet de l’Iphone. (…)
Dans tout ça, je n’ai retrouvé que le chargeur du Reflex et les clefs de la voiture.

Voilà, j’ai perdu tout cela en moins d’une semaine. Cela ne m’était jamais arrivé avant de perdre autant de choses. Je dois dire que cela m’inquiète un peu. Et quand je ne perds pas, j’oublie. Et là, la liste est encore plus longue.

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Note de départ


Je veux pas partir.
Je ne veux pas partir.
J’ai le ventre noué. Les bagages sont prêts.
La voiture n’attend plus que moi.
J’ai passé quatre journées merveilleuses.
De l’amour, des sourires, et encore de l’amour.

Sept heures de voiture, et la vie à l’espagnole reprendra.
Et, je ne sais pas encore quand je remettrai le bout de mon nez ici.
Je crois que c’est un peu dur.

« J’avais cette impression pénible qu’on passait plus de temps à se dire au revoir qu’a se voir. » (L’auberge espagnole).
C’est exactement ça. J’ai lu cette phrase ici hier, et depuis elle trotte dans ma tête.
J’ai un peu mal.


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Sur la plage,

Ces images datent de samedi après-midi sur la plage de Valencia.
Il y avait du vent, un léger soleil et l’amoureux.
C’était une parenthèse amoureuse. Je crois vouloir vivre à jamais si près de la mer et de tout ce qu’elle implique.
Le sable si doux, les coquillages colorés, les vagues qui emportent.
Regarder le point infini entre le ciel et la mer comme une fuite.
Il y a un coté, une atmosphère magique à vivre ici.
J’aime les couleurs, j’aime l’odeur de la mer.

Et, le merveilleux ne s’estompent pas avec le temps.


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