Je veux pas partir.
Je ne veux pas partir.
J’ai le ventre noué. Les bagages sont prêts.
La voiture n’attend plus que moi.
J’ai passé quatre journées merveilleuses.
De l’amour, des sourires, et encore de l’amour.
Sept heures de voiture, et la vie à l’espagnole reprendra.
Et, je ne sais pas encore quand je remettrai le bout de mon nez ici.
Je crois que c’est un peu dur.
« J’avais cette impression pénible qu’on passait plus de temps à se dire au revoir qu’a se voir. » (L’auberge espagnole).
C’est exactement ça. J’ai lu cette phrase ici hier, et depuis elle trotte dans ma tête.
J’ai un peu mal.
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