L’entretien, toute une histoire

Cela fait une poignée d’heures de jours que je me consacre surtout à l’écrit pour le Master. Ce matin, j’ai commencé à m’intéresser à l’entretien. J’avais déjà gribouillé  mille et une questions partout et nulle part. Il y en avait partout sur mes carnets dans des post-its dans ma tête  dans mes poches. Ce matin, je les ai toutes réunies .

J’ai noté toutes les questions sur une feuille blanche. Elles attendent maintenant des réponses. Au début et dans ma tête, cela me semblait plutôt simple et parfois même évident. Je suis May, j’ai fait ci et ça. Je voudrais faire ce Master parce que blablabla. Comme dirait Maman, cela coulait de source.

Sur la feuille, mes mots ont la fâcheuse habitude de prendre la poudre d’escampette. J’ai réussi malgré tout à en attraper un ou deux qui étaient à la traine. Cela dit mes réponses restent bancales ou très vides pour le moment.  Si vous les trouvez, dites leurs que je les attends et que j’ai besoin d’eux et de la magie. Cela sera très gentil. Merci.

En entendant je crois que je vais me noyer dans un chocolat chaud.

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Post-it

Vous vous demandez peut-être comment insérer une petite image à coté de votre pseudo lorsque vous poster un commentaire sur mon blog ou sur d’autres blogs utilisant la même technologie ?

C’est très simple.

Il suffit de vous inscrire sur le site Gravatar et d’associer une  ou plusieurs de vos adresses emails à une image. Par la suite, à chaque fois que vous indiquerez votre adresse email, votre image s’affichera.

Pas compliqué, non ?

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Une semaine tout en couleur,

La semaine fut jolie. Sur le moleskine, j’ai coloré mercredi, jeudi, et vendredi d’une couleur différente.  Ces trois journées furent une parenthèse de douceur au milieu de l’angoisse de l’avenir. J’ai si peur, tu sais.

Le théâtre, le les restaurants, la galerie photographique, le salon de thé, tout s’est enchainé.  Ce sont des merveilles du quotidien, des sourires entre les feuilles de révisions. J’aime ces tempêtes d’instant.  J’ai si peur, tu sais. Le jardin japonais ne m’avait jamais semblé si apaisant. Mercredi soir, les Marguaritas frappées nous attendaient au bar mexicain. Puis le restaurant africain comme toujours fut délicieux. J’aime l’atmosphère de ce lieu. Tout est fait pour qu’on s’y sente bien. Les cocktails aux saveurs d’ailleurs, le décor, la musique de fond, les serveurs sont en harmonie avec le lieu. La soirée s’est écoulée en douceur. La séance de cinéma ne nous aura pas attendu  tout comme la visite guidée le lendemain.

Vendredi soir, j’ai dansé pour la première fois depuis des années. C’était du tango. Le premier cours n’est jamais simple. Il y avait des petits poids dans mon ventre qui rendaient chacun de mes mouvements indélicats. L’appréhension m’empêchaient d’écouter la musique et de  sentir mon corps. J’étais en dehors de lui.  J’étais spectatrice. Mon corps était là,  seul au milieu de la piste. Peu à peu, je me suis approchée, apprivoisée. Ce n’est pas simple après des années d’ignorance de s’entendre à nouveau et de se rendre compte de l’abandon, de ses dégâts. Depuis, je lis Tango et je crois avoir vraiment envie de poursuivre cette re-découverte.

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