Trouver son nid douillet,

Mardi, j’apprenais ses premiers mots d’Espagnol à S., je me rendais une nouvelle fois compte de combien l’Espagnol et l’enseignement me plaisent, sont importants pour moi. Pourtant sur le bureau, le dossier FLE est encore non-rempli. Mardi, tôt le matin, la voiture se dirigeait vers Poitiers. Vers 14 heures, on visitait un appartement. A 15 heures, les papiers étaient signés. Il faudra encore attendre le 27 pour avoir les clefs et transporter notre vie d’une ville à l’autre. J’ai un peu peur, oui. Je souris avec cette boule au ventre malgré tout.

Entre temps, je capture les dernières journées à Toulouse. J’aime cette ville immensément. Je voudrais pouvoir l’enlacer et ne plus avoir à la quitter sans cesse. J’aime trop voyager pour ça, et je le sais. Depuis mercredi, c’est la course folle aux papiers et aux choses de grand. Il va falloir faire les cartons pour de vrai cette fois-ci, faire entrer deux vies dans des boîtes, tasser un peu pour que tout rentre sans trop s’écorcher.


Pour les curieux, l’appartement est assez grand, lumineux et avec plein de fenêtres. Il a des poutres et du parquet. Je crois que l’on n’en demandait pas plus. Je mettrais des photographies ici dès que possible ( soit, après le 27 ! ).

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Les douceurs de l’été (2)

Comme promis, je continue ma liste «des douceurs de l’été» . La première partie de la liste se trouve ici. Rappelez-vous mes trois premières douceurs portaient sur les réveils doux, les soirées entre amis et les soirées en amoureux.

J’ai créé un fichier PDF qui rassemble mes douceurs de l’été et j’ai rajouté aussi vos douceurs à vous: si vous voulez le télécharger/lire, c’est par ici ! Oui, les PDF, c’est mon obsession du moment (à rajouter avec les Polaroïds, les angles ronds, le masking tape, les carnets … ) au cas où vous ne l’aviez pas encore remarqué mais ça, j’en doute !

On continue !

Je (re)découvre ma ville

Je (re)découvre ma ville. L’été, c’est le moment idéal pour se balader en plein centre ville, découvrir des petits coins sympas et profiter des jardins. Aucun problème pour trouver une place : ils sont tous partis cramer profiter de la plage. Alors, je visite ma ville comme pour la première fois. J’ouvre les yeux. J’entre dans toutes les boutiques à la façade agréable. J’achète un tas de choses inutiles et donc indispensables. J’emprunte les petites ruelles. Je sors les nu-pieds, l’appareil photo et le chapeau et c’est parti pour une balade agréable !

Je profite de mon amoureux

L’été, je prends la main de mon amoureux et c’est le temps des promenades romantiques au creux de ses bras. Je prends le temps de l’aimer, de le lui montrer, et de le lui dire. La grande roue ? On y va ! Un repas dans le restaurant so romantique de Toulouse ? On y va ! S’embrasser sur le pont neuf, trop cliché ? On y va ! L’été, c’est fait pour ne rien se refuser. J’oublie le manque de temps, les contraintes, et les«qu’en dira-t-on» ( de toute façon, vous avez oublié ? Ils sont tous partis ! ). Je profite de l’été dans les bras de mon amoureux !

J’envoie des jolies choses

Même si je reste à Toulouse, j’envoie des cartes, des lettres et des sourires. L’été, je prends le temps d’écrire et d’envoyer de la douceur au quatre coins de la France. Je soigne la présentation, les mots et l’enveloppe. J’envoie des jolies choses et du soleil par soleil. Il suffit de petits riens pour faire plaisir et se faire plaisir.

Mes douceurs de l’été – PDF –

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