Un semainier et un organisateur à télécharger

Semainier à télécharger

 


Lorsque l’organisation devient un peu délicate, un semainier et un organisateur sont toujours les bienvenus. Des nouveaux outils colorés et joyeux, et l’organisation semble tout de suite plus simple et plus légère. Même la liste de choses à faire, qui s’allonge, parait tout à coup moins effrayante. J’aime ces outils qui permettent de rendre le quotidien plus doux et simple. J’espère que mes petites créations vous permettent quelquefois d’appréhender le quotidien de manière plus légère.

Pour ce semainier et l’organisateur, j’ai conservé les couleurs et la forme de l’organisateur mensuel d’octobre. Je le voulais douillet pour les journées fraiches qui approchent. Pour l’organisateur, je suis revenue sur une présentation un peu plus simple afin d’optimiser l’espace et que les notes puissent respirer.

J’ai inclus le semainier et l’organisateur dans un fichier PDF que vous pouvez télécharger par ici. Il y a donc deux pages. J’espère qu’il vous permettra de vous organiser au mieux et colorera un peu vos journées !

 

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Un an en freelance

 

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Un an que je me suis lancée dans l’aventure du freelance, un an que je crée, que je fabrique, que je vis à 100% pour mes clients. Trois cent soixante cinq jours de rencontres, de créations, de projets. Du consulting, des sites vitrines, des e-boutiques, des blogs,  des faire-part, des CV et cartes de visites. Et bien sûr et plus que tout, Un joli conte. C’est un peu fou tout ce qui s’est passé depuis un an. Toute la confiance que vous m’avez impulsée, tous les projets que j’ai pu voir naitre à mes cotés et qui prennent aujourd’hui leur envol.

En un an, il y aura eu des belles rencontres, des mails qui m’auront fait sautiller, des projets qui m’auront transmis une énergie folle, des mots glissés comme si de rien n’était et qui auront finalement éclairé ma journée.

C’est étrange tout ça. Parce que même si j’avance, même si jusqu’ici tout va bien, même si je progresse, même si chaque jour, j’y prends un peu plus de plaisir, j’ai toujours autant de mal à dire que oui, oui, je suis à mon compte. Que oui, j’en vis. Que oui, je me sens à ma place dans cette nouvelle vie. Oui, oui, oui. Trois fois oui. Avec le sourire. Alors, je serre fort mes petits poings pour que cela continue. Et, j’y crois, j’y crois, j’y crois.

En un an, j’ai grandi mille fois. J’ai pris mes marques. Peu à peu, j’ai appris à mieux communiquer, à raconter mon quotidien, à ne (presque) plus rougir lorsqu’on demande mes tarifs. Parfois, on a voulu un peu profiter de ma jeunesse, de ma naïveté. Alors, j’ai appris à dire non. Tout doucement, et puis un peu plus fort. J’ai délégué ce que je ne savais pas faire. J’ai gagné un temps précieux et je me suis réorganisée. J’ai été plus méthodique et j’ai acquis un brin d’expérience. Assez pour relever les yeux et savoir vers où je voulais aller. J’ai continué à me former, à essayer de progresser. Et d’aller de l’avant. Toujours.

Être freelance, c’est le temps qui s’accélère. C’est faire ce que l’on aime plus que tout. C’est parfois s’écorcher alors qu’on y a glissé tout son cœur son énergie son temps. Ce sont les règles, le jeu des montagnes russes. Certains jours, c’est être épuisé pour les milles années à venir. Le lendemain, c’est déjà une petite fête à l’intérieur.

Etre freelance, plus que tout, c’est une belle histoire, l’histoire d’une passion qui glisse des papillons dans le creux du ventre, qui épuise, qui fatigue, qui emprisonne nos pensées et nos rêves. Une histoire qui fait naitre en nous une énergie insoupçonnée, une histoire cousue à même la peau. Du cœur à corps. Une histoire innée, féroce, bouleversante. Une belle histoire dont on ne voudrait se séparer pour rien au monde.

Durant cette année, j’ai rencontré tant de personnes bienveillantes autour de moi, tant de soutiens, de conseils, que j’aurais pu, je crois, franchir n’importe quelle montagne. Cela a été mon rempart à chaque fois que j’aurais pu dégringoler.  S’il y avait un seul conseil que je pourrais donner du haut de mes douze minuscules mois d’experience, cela serait de s’entourer. De notre famille, de nos amis et aussi bien sûr de personnes compétentes pour nous aider. De sortir, de rencontrer, de respirer et d’être attentif aux mains tendues et aux joyeux conseils. Il y a des anges partout, il suffit souvent d’ouvrir les yeux. Etre freelance, entrepreneur, indépendant, ce n’est pas avancer seul. Il y a toujours une petite armée de bonnes fées prêtes à vous rattraper.

Oh et puis, il m’aura fallu un an pour faire les cartes de visites que vous voyez ci-dessus. Des petites cartes de rien du tout pour dire ce que je fais, que j’existe, que je suis là. C’est sûrement pas grand chose mais je crois que pour moi, c’est un pas de géant. May Lopez, petit couteau suisse créatif. Pour de vrai.


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Commander une version papier – Un joli conte

Commander le numéro 2

 

La question de l’impression est une question qui revient souvent : de vous, de nous, de notre entourage lorsqu’on en parle. Pouvoir tenir son magazine entre ses mains est une sensation incroyable. C’est notre travail qui devient enfin bien réel et qui s’offre à nos doigts. On peut le partager plus facilement, dire « regarde, c’est moi qui l’ai fait ! » avec des paillettes dans les yeux.

On a beaucoup hésité. L’impression, en petite quantité, est particulièrement coûteuse. On en a parlé autour de nous. L’idéal serait de pouvoir financer un grand nombre d’exemplaires et vous permettre ensuite de les acheter. Cela ferait chuter les prix. Vous l’aurez compris, c’est un peu compliqué sur un magazine où il n’y aucune publicité et sans économies personnelles importantes. L’impression d’un magazine, d’une soixante dizaine de pages, revient en moyenne entre 10 et plus de 25 euros en fonction du format et de la qualité. A cela, il faut bien sûr ajouter les frais postaux.

Au départ, on trouvait ça un peu absurde, un peu osé, de vous demander une telle somme pour notre joli conte. Alors, pour le premier, on en a fait imprimer seulement quelques exemplaires pour nous, pour nos fabuleuses contributrices et quelques uns pour vous aussi à gagner. Cela a été un investissement important pour nous. Et puis, l’idée a fait son chemin. Vous nous l’avez demandé souvent.

Pour le numéro 2, on a eu une minuscule idée. Elle ne nous convient pas encore tout à fait mais on s’est dit que c’était déjà ça de pris. On est passées par Peecho.com pour imprimer nos propres exemplaires. On a fait plusieurs tests avec différents imprimeurs physiques et sur le web. C’est cette possibilité qui nous a finalement le plus convaincu : simple, rapide et la qualité est au rendez-vous. On s’est alors dit qu’on allait directement vous mettre en contact avec lui. Vous pouvez ainsi choisir la qualité, le format et les couleurs si vous décidez de commander un exemplaire.

Nous avions initialement ajouté un pourcentage de 20% pour essayer de rentrer dans nos frais liés au magazine si vous optez pour la version magazine ou la version avec la couverture souple. Nous avons décidé, avec Laetitia, de les retirer pour vous permettre d’en profiter à (un peu) moindre coût.

De notre coté, pour la soixantaine d’exemplaires qu’on a fait imprimer et après avoir testé les différentes possibilités offertes par Peecho, on a choisi le modèle avec la couverture souple pour avoir une couverture qui vieillira bien, qui est belle-belle-belle. Un version qui nous donne envie de le conserver dans sa bibliothèque. On l’a choisi en grand format, et bien sûr en couleur. Le résultat nous semble parfait. Vous pouvez donc commander le même format, ou un autre, directement en ligne.

On devrait recevoir les exemplaires dans une petite semaine. On sautille, on sautille ! Si vous avez des questions ou des conseils, glissez-nous un petit mot. On est toujours heureuse de vous répondre.


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La photographie est tirée du magazine et a été prise par Louise

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