un week end à deux,

Ce fut quatre petites journées de bonheur, une halte de douceur et de tendresse. Ce fut un sourire grand comme le soleil à l’aéroport. Un soirée de retrouvailles au gout si sucrée si tendre. Ses mots aux creux de mon oreille. M’endormir à nouveau contre la douceur de sa peau. Les cauchemars ont fui durant ces quatre jours. C’était des nuits de tendresses à me blottir contre l’amour. Se border d’amour. Ce fut des journées où le soleil ne se couche plus et où les étoiles brillent si forts si forts. Ce fut des heures à me pelotonner contre lui, contre son cœur. Des déjeuners à quatre mains dans le creux du bonheur, sur la vague de la joie. Des après-midi dans la ville rose, à faire les boutiques, à s’offrir. des petites riens et nos grands tout. Ce fut des cafés et des chocolats chauds qu’on prenait le temps de savourer pour de vrais. Ce fut mon amoureux qui m’attendait à la sortie de la fac et qui m’accompagnait au matin jusqu’à la salle. Ce fut mon sourire à chaque fois que je le retrouvais. Ce fut des macarons savoreux de chez Lopez, un restaurant improvisé, un gouter somptueux, des cadeaux, une soirée mexicaine, un déjeuner comme si on avait quatre ans devant la télé, ce fut du bonheur à l’état pur dans ses bras.

C’était le bonheur retrouvé des jours heureux, des jours d’été. C’était l’attente pulvérisée, et mon rire d’enfant que je laissais éclater lorsqu’il me serrait dans ses bras.

Voilà, vous savez tout. Ou presque.

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Note de lundi

( Aujourd’hui devrait sentir le bonheur, il sent la pluie. )

Aujourd’hui, nous sommes lundi 2 février et j’ai un peu mal et beaucoup peur. Cela me chiffonne de ne pas prendre le temps d’écrire ici plus souvent.
J’aimerai beaucoup parvenir à décrire mes sentiments au fil des jours sans coupures, comme un fil lisse et solide, fragile et absurde à la fois. Quand j’écris, j’ai souvent l’impression d’écrire la vacuité de mon existence. Et je trouve cela alors si plat, si éloigné de mon projet initial à savoir créer une atmosphère intimiste, fragile et un brin poétique. Alors, d’un clic, je supprime tout. Je me sens vide en ce moment. Il y a beaucoup de choses qui tournent autours de moi, et autant que je me force à croire parce qu’il le faut. Il y a une petite avalanche dans mon intérieur, une tempête d’hiver, comme un écroulement sans fin. Les questions s’entassent jusqu’à s’étouffer les unes sur les autres. Je sais que cela passera comme toujours. Mais comme toujours sur le moment c’est dur et intense.
Je me sens porcelaine.

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Ce soir,

Amour arrive à la maison pour un week-end au milieu de la semaine. Cela sera quatre jours de sourire à deux, de partages et d’amour au creux de ses bras. Et puis dans une semaine, la distance se pulvérisera enfin pour toujours. Et si vous saviez comme cela me rend heureuse.

Il me tarde, il me tarde tant.

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