Ce fut quatre petites journées de bonheur, une halte de douceur et de tendresse. Ce fut un sourire grand comme le soleil à l’aéroport. Un soirée de retrouvailles au gout si sucrée si tendre. Ses mots aux creux de mon oreille. M’endormir à nouveau contre la douceur de sa peau. Les cauchemars ont fui durant ces quatre jours. C’était des nuits de tendresses à me blottir contre l’amour. Se border d’amour. Ce fut des journées où le soleil ne se couche plus et où les étoiles brillent si forts si forts. Ce fut des heures à me pelotonner contre lui, contre son cœur. Des déjeuners à quatre mains dans le creux du bonheur, sur la vague de la joie. Des après-midi dans la ville rose, à faire les boutiques, à s’offrir. des petites riens et nos grands tout. Ce fut des cafés et des chocolats chauds qu’on prenait le temps de savourer pour de vrais. Ce fut mon amoureux qui m’attendait à la sortie de la fac et qui m’accompagnait au matin jusqu’à la salle. Ce fut mon sourire à chaque fois que je le retrouvais. Ce fut des macarons savoreux de chez Lopez, un restaurant improvisé, un gouter somptueux, des cadeaux, une soirée mexicaine, un déjeuner comme si on avait quatre ans devant la télé, ce fut du bonheur à l’état pur dans ses bras.
C’était le bonheur retrouvé des jours heureux, des jours d’été. C’était l’attente pulvérisée, et mon rire d’enfant que je laissais éclater lorsqu’il me serrait dans ses bras.
Voilà, vous savez tout. Ou presque.