On ira garder les moutons ?

Ce matin, j’ai encore postulé à plus de deux poignées d’annonces de la plus loufoque à la plus sérieuse.  Si l’on me répond positivement à une, je deviendrais peut-être serveuse dans un bar, secrétaire, vendeuse,  gardienne de chiens ou d’enfants au choix.La liste est longue. Et, je ne me souviens déjà plus de toutes les annonces répondues.
A 10 heures, lorsque j’ai appelé une dame pour amener son fils à l’école le matin, elle m’a répondu que non, parce que je n’habitais pas dans sa ville. J’ai eu beau lui expliquer que j’habitais à deux minutes en voiture, elle n’a rien voulu entendre. Elle voulait une personne de sa ville. J’ai raccroché dubitative.

J’en ai un peu par dessus les cheveux de cette histoire de recherche de travail. Sous peu, je vais postuler pour aller garder des moutons ; j’aurais peut-être plus de chance. 

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Donner des nouvelles,

Je me suis absentée ici. Ce n’était pas vraiment prévu. La vie n’est pas toujours douce et parfois l’envie d’apposer des mots sur celle-ci disparait quelques heures jours semaines. Le désir et la nécessité d’écrire reviennent toujours, je le sais. 
Les photographies, ce sont une guirlande d’images de mercredi dernier à aujourd’hui. Six images pour sept journées, un morceau d’un salon de thé, des baguettes du restaurant au Wok, le ciel bleu et ses flocons, une part de notre appartement. Cela ne veut rien dire et cela n’est même pas vraiment harmonieux, je sais.  Ce sont des morceaux de vie, un peu écorchés. 
Je reviendrais un peu plus longuement, un peu plus joliment très vite. Puis, j’ai commencé à créer des pages séparées au blog ci-dessus. Je n’ai pas fini. Il ne se cache rien pour le moment derrière les liens mais, bientôt. 
A très vite ! 

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