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Se souvenir des belles choses. Toujours.

{ carnet d’instantanés et de sourires }

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Postés dans: Mes voyages

29.11.2008

Note du lundi,

Note du lundi,

Passer la journée à dormir pour oublier le temps qui passe et les souvenirs, projets qui dégringolent. La fatigue m’assomme, m’écroule. Je rêve d’un sommeil réparateur, dans le sens où…

24.11.2008

Note du mercredi,

Note du mercredi,

De Toulouse à Madrid, le ciel pleure comme un message envoyé dans le silence de la distance.

08.10.2008

Se battre contre l’absurdité du monde.

Se battre contre l’absurdité du monde.

Samedi, Ici, il fait froid et le café ne semble jamais assez chaud assez fort. Le quotidien prend une allure de révisions lorsque la rentrée approche. Il faut à nouveau…

04.10.2008

Sur la vitre des surprises

Sur la vitre des surprises

Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Vendredi, Les mots vibrent sous l’impulsion de la vie-même. Hier, c’était au dessus des…

02.10.2008

Le retour

Le retour

Jeudi, Revenir et se mêler à nouveau au quotidien, c’est un peu se tordre, se plier pour ne pas se briser. Arrondir les angles afin de ne pas s’émietter. Lire…

02.10.2008

Colioure, Paris et autres merveilles

Colioure, Paris et autres merveilles

C’est une presqu’envolée vers le paradis. C’est un petit bonheur qui ne s’oublie pas.   Mardi, Il y a eu Paris, Colioure et la montagne. Il y a eu les…

23.09.2008

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May, Toulouse
{ vivre d'amour et de beaux mots }

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Qui suis-je ?

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l'humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.





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Neuf mois de toi. Neuf mois, neuf mois presque dix Neuf mois de toi.
Neuf mois, neuf mois presque dix, neuf mois déjà que je suis maman, que je suis ta maman. Que tu as élargi la carte de mon monde.

Depuis vendredi, tu rampes. Tu te balades gaiement entre les meubles, les émotions et nos jambes. Je t’observe. Tu agrippes, attrapes, goûtes. Tu t’étonnes de tout. Tu fais des grimaces. Tu gigotes. Tu tapes dans les mains et ris. Tu pleures. Tu aimes. Tu saisis tout ce qui passe devant toi. Tu es intense, têtu, joyeux. Tu grandis, tu deviens un tout petit garçon, notre garçon. Tu es si vivant.

Aujourd’hui, c’est la fête des mères. Tu as ouvert les yeux à 9h30 ce matin. Je crois que c’était ton cadeau. Ça, et ton sourire qui pétille et nous éclabousse. Ça et ce « maman » qui pulvérise toutes mes angoisses et mes urgences à chaque fois que tu le prononces.

Aujourd’hui, c’est ma première fête en tant que maman. On est avec ta mamie et ton papi dans le jardin. Tu fais la sieste pendant que je t’écris ces quelques lignes. Mon trésor, mon amour, sache que la vie est merveilleuse et colorée à tes côtés. Je voudrais que tu ne doutes jamais de ça.

La maternité est une terre sauvage et complexe. Je n’en savais rien avant toi.
Je découvre la puissance des femmes. J’apprends la résilience, la force et le courage des mères. Je m’étonne de la vie et de tous ces chemins que je n’avais jamais imaginés ni même aperçus avant ta naissance.

Neuf mois que je porte un regard tendre, admiratif et solidaire, envers les mères. Maintenant, je sais. Je sais les injonctions, les doutes, les inégalités. Je sais la colère et la rage. Je sais les injustices. Je sais les nuits à veiller, le corps abimé et la fatigue qui colle au coeur.
Je découvre ton rire qui panse et console de tout. Je me découvre animale, forte et instinctive. Je me découvre mère.

Mon amour, mon enfant, tu as neuf mois, presque dix ; on célèbre les mères aujourd’hui. Je sais ma chance d’être maman, d’être ta maman.
Mon amour, mon trésor, je ferai tout pour que tu continues à être aussi vivant et curieux. Pour que tu aies une vie qui enchante. Une vie joyeuse, libre, passionnée et audacieuse.

Je t’aime
21 juin, on dirait l’été. Je n’ai pas vu pa 21 juin, on dirait l’été.

Je n’ai pas vu passer l’automne. Ni l’hiver, ni le printemps. Les saisons ont filé. J’ai couru derrière. 

J’ai fait des cartons, des dossiers, des plans sur la comète. 

En avril, j’ai eu trente-six ans. J’ai déménagé dans un appartement à quelques pas de la place du Capitole. Quelques jours plus tard, j’ai glissé une bague qui brille à mon doigt.

Sur le chemin, j’ai oublié la peur. Je l’ai troqué pour la confiance, l'amour et la sérénité des beaux jours.

J’attends cet été depuis des mois. Depuis des années dans le fond. On est le 21 juin et j’ai l’impression qu’hier nous fêtions Noël. A la fenêtre, il neigeait encore. 

Alors, voici les beaux jours. 
Voici le temps de l’amour et de ralentir.

Bonjour l'été !
Il y a sept ans, j’ai décidé d’imprimer des Il y a sept ans, j’ai décidé d’imprimer des mots.
Des mots pour dire ce qu’on ressent, ce qu’on n’ose pas toujours dire. Des mots pour célébrer notre sensibilité et humanité. 

Des mots pour faire sourire, consoler, inspirer.
Des mots pour parler de l’intime.

Depuis, il y a eu des milliers d’affiches, des nuits blanches, des cafés tièdes, des cartons de livraison, des moments de grâce, des doutes aussi.

Et puis surtout, il y a vous.
Vous qui lisez, offrez des mots. 
Vous qui faites vivre mes mots. 
Vous qui me soutenez depuis sept ans. 

Sept ans d’amour, de mots et d’affiches.
Sept ans à croire que la poésie a sa place dans les maisons.

Merci d’être là, depuis le début ou depuis hier.
Merci de faire partie de cette aventure.
Merci de me rappeler, chaque jour, que tout est possible. 

PS : comme chaque année, voici une remise de 15% ainsi que de la livraison offerte sur l’ensemble de la boutique en ligne avec le code 7ANS valable jusqu'à ce soir minuit sur https://lesmotsalaffiche.fr
Le dernier voyage avant celui qui m’amènera ju Le dernier voyage 
avant celui qui m’amènera jusqu’à toi
Juillet 2025 - D’abord, la mer Juillet 2025 - D’abord, la mer
Ceci est mon corps, il porte mon enfant. Il est t Ceci est mon corps, il porte mon enfant. 
Il est terre d'accueil. 

Il protège, nourrit, berce. 
Il est une armure, un rempart face au monde extérieur.
Il est une maison douce, une maison tortue. Un nid bienfaiteur.

J’observe mon ventre et ma peau tendue, prête à s'ouvrir. Il fait chaud. Je porte une robe légère. Je te porte, ou c’est peut-être toi qui me portes finalement, 
Je sais que ce sont les derniers moments ensemble, juste tous les deux, hors du monde. Alors, je nous savoure, je nous profite. Je nous rêve, je nous observe. 

Je nous écris. Je voudrais me souvenir de toutes les émotions, toutes les sensations, toutes les pensées qui me traversent.
Je voudrais que tu saches cette invincible force que tu m’as insufflé durant neuf mois. 
Je m'étonne, chaque jour, de la puissance de mon corps et ses contours mouvants.

Bientôt, mon ventre s'ouvrira et mon cœur explosera.
Bientôt, peut-être demain, déjà, nous serons trois. Tu porteras, en toi, la promesse d'une vie nouvelle. Je ne sais plus si je dois compter les heures, ou les jours. Avec toi, j’ai perdu la notion du temps. Je suis entre entre deux rives. Je vogue.

Demain, ou peut-être vendredi, tes poumons se gonfleront d'air, tu seras parmi nous, parmi les vivants. Toi, tu naitras, et moi, je serai honorée du plus beau rôle d'une vie. 

En attendant, la joie.
En t'attentant, je me laisse bercer par le langueur de ces journées sans début ni fin. 
Je saisis la magie de ces jours suspendus. 

Mes doigts sur mon ventre ; j’imagine ton visage, ta peau douce et tes cuisses minuscules. Ton regard sur nous, tes joues à croquer, et ton petit nez. 
Je te dessine. Je te pense. Je te comprends. Je te sais. 

Je me découvre maman kangourou, koala, louve, cigogne. Je te couve. Au milieu de l'été, je déambule. Au coeur de la ville, le nez au vent ; je te porte, te berce, te caresse. Je suis si reconnaissante, et fière, de te savoir blotti sous ma peau. 

J'observe, en moi, ébahie, le miracle de l’amour.
Juillet 2025 Juillet 2025
Mon amour, mon trésor ; Alors, voilà, on arrive Mon amour, mon trésor ;

Alors, voilà, on arrive déjà à la fin de ce tout premier voyage ensemble. Dans quelques semaines, tes poumons se gonfleront d’air pour la première fois. Dans quelques jours, je devrai te partager au monde.

Déjà. 
Déjà, nous serons deux.
Déjà, je ne pourrai plus te protéger de tout. 

On va vivre, ensemble, la plus folle des aventures. Celle, pour toi, de vivre. Celle, pour moi, de devenir mère. De devenir ta maman. 

Tu n’es pas encore né et tu m’offres le plus incroyable des cadeaux. Si tu savais combien tu m’as fait grandir et combien tu m’as apaisée depuis que tu t’es niché au creux de moi cet automne dernier.

Mon soleil, je te promets de toujours t’entourer de tendresse, d’amour et de beaux mots. De t’aimer sans frontières et limites. De, toujours, veiller sur toi. 
De tout faire pour que tu deviennes une personne libre et respectueuse. Confiante et sereine.

Je te promets, ma lumière, de te construire un rempart protecteur et de faire de ton enfance la plus merveilleuse des fêtes. De tenter de te protéger sans te limiter, de prendre soin de toi sans te contraindre. De te guider sans t’interdire. De chérir, envers et contre tout, ta liberté. 

Je sais déjà que cela ne suffira pas et qu’un jour, bien trop tôt, tu t’écorcheras. Ce jour-là, je t'apprendrai à plier et, ensemble, on se relèvera. On fera fleurir nos cicatrices. On ira voir la mer et on remplira nos poumons d’air iodé. Je t'apprendrai la force apaisante de la mer. 

Je t’apprendrai à te fabriquer des ailes solides et à ne pas avoir peur ni du vent ni des tempêtes. On volera, toi et moi, et on découvrira la beauté du monde.

Et puis, un matin, je t’observerai prendre ton envol. Je m’étonnerai de la fulgurance du temps qui passe et de l’adulte que tu seras devenu. Je te serrerai dans mes bras et je te murmurerai de savourer chaque saison qui passe.
Tu riras, tu seras léger. Tu seras beau, tu seras déjà loin. Je sentirai, tout à coup, le poids des années sur ma chair. 

Mon minuscule, tu es entre deux mondes, entre deux rives : prends tout ton temps pour naitre, pour grandir, pour vivre. Ton rythme sera, toujours, le mien. Je t'aime.

Maman
Le dernier voyage avant celui qui nous amènera j Le dernier voyage 
avant celui qui nous amènera jusqu’à toi

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