Une année entière

 

 Vejer de la Frontera.


A l’image des années précédentes (2010, 2011 et 2012 et 2013), je commence l’année avec un bilan de l’année. C’est doux chouette fou de voir le chemin parcouru.

2014. J’ai rêvé, douté, ri aux éclats. J’ai pleuré aussi. Je me souviendrai de 2014 comme d’une année qui fait grandir, une année qui éprouve et qui pousse à aller de l’avant. Une année parfois un peu sombre, souvent lumineuse. Colorée, toujours. Une année intense et qui déborde de vie. Une année en contraste. Des jolies naissances et des au revoir. Des peines qui transpercent le cœur et des bonheurs qui aveuglent, qui glissent quelques paillettes au coin des yeux et qui rappellent comme la vie est belle. Belle et surprendre.

2014 et la décision de penser à soi nouveau. Doux, et fragile, fil conducteur de ces douze mois. Une décision délicate, difficile, et nécessaire. Penser à soi, s’écouter et apprendre à ralentir. A dire non. Et puisque ce sont dans les voyages où je me sens le plus vivante, où je m’ancre, où. Décider que cette année y sera, en partie, dédiée. L’évidence. Alors, commencer l’année, quelques jours suivants, avec un vol vers Madrid. Le même jour, programmer une escapade à Marrakech et à Bruxelles. Sourire et se retrouver, déjà, à l’idée.

Madrid, son soleil, sa beauté. Les bras de mon amoureux et la douceur de vivre de ce pays-là. Le restaurant japonais parfait et la boutique-hôtel à quelques pas de la Plaza Mayor. Les tapas, les huitres dégustées au mercado central, la balade au Retiro. Revenir un peu plus légère, un peu plus apaisée, un peu plus sûre. Saisir la vie, la secouer. L’envie de grandir, d’aller un peu plus loin, de continuer à faire battre le cœur des gens un peu plus fort. Vouloir glisser des étoiles dans le quotidien. Accumuler les jolis projets. A coté, la peur aussi. La peur de la maladie et quelques aller-retour à l’hôpital. Accompagner, être là. La tête haute, toujours. La bougie à la vanille sur le bureau et les affiches qui font sourire aux murs. Guetter les éclaircies par la fenêtre. Ne pas avoir peur des orages, les attendre. Et puis, se laisser surprendre malgré tout. Toujours.

Ma petite entreprise qui continue de grandir doucement. Qui prend ses marques, qui s’envole, qui m’envole. Les clients parfaits. Ceux qui me font confiance les yeux fermés depuis que je me suis lancée, ceux qui m’envoient un premier mail timidement, ceux qui ont mille projets rêves envies, et ceux qui sont devenus des amis. Et toujours, le cœur qui bat un peu plus fort quand j’y pense. La passion. Se sentir utile et prendre le temps. Le saisir. Écouter, conseiller, créer. Les e-boutiques, les sites vitrines, les blogs, les faire-parts de mariage et de naissance. La création d’identités graphiques. Les projets un peu plus grands et qui donnent le vertige, qui donnent envie d’y croire pour mille. L’envie de grandir aussi, de prendre nos marques à deux avec Anthony. D’avoir notre agence à nous un jour. Nos papillons, tous les deux, dans le ventre à chaque fois qu’on évoque le sujet. Se projeter, se fabriquer, se créer.

Avril. Le premier pas au moyen-orient et la découverte de la Jordanie. Le voyage qui apprend, qui fait grandir et dont on ne se remet pas vraiment. La découverte du désert, de Pétra, d’Aqaba, d’Amman. La découverte d’une culture, de personnes et de lieux incroyables. Le thé à la menthe partagé, la balade en dromadaire à la tombée de la nuit dans le désert, la baignade dans la mer morte. Flotter. Le premier plongeon du voilier dans la mer rouge et découvrir les fonds marions incroyables. Le bonheur sur les lèvres et cette sensation de planer encore un peu des jours après. Atterrir en douceur. Fin avril, souffler sa vingt-sixième bougie autour d’un repas thaïlandais. Se sentir entourée, aimée, chanceuse. Savourer.

Et puis juin. Le joli projet avec Mulot B. qui nous tient, à toutes les deux, tant à coeur. L’envie d’aider à notre portée, de soulager, de se sentir utile aussi. La luttre contre le Cancer. Londres durant deux semaines. Un petit studio loué à la dernière minute. L’anniversaire d’Edith, le travail le matin et la découverte de la ville l’après-midi. Jolie équilibre, fragile équilibre. Boire du thé au Covent Garden, apprivoiser les écureuils et flâner dans Notting Hill. Retrouver Anthony à la fin de la semaine.

Le retour à Toulouse et des beaux jours. Apprivoiser le quotidien. Les cafés partagés, en terrasse, l’après-midi. Les premiers mots écrits pour un magazine. La petite pression et l’envie de de surpasser. Les ratures. Le soleil sur les épaules et les promenades avec Holly que l’on étire. Le midi, aller chez Sandyan. Le soir, partager quelques tapas au bout de la rue. La Sangria, le pan con tomate et quelques sourires. Début juillet, un week-end à Bruxelles. Bruxelles sous la pluie, Bruxelles comme une parenthèse loin de tout, Bruxelles à deux. Bruxelles doudou.

2014 et un été ombragé. Deux au revoir et l’envie de continuer à se battre. A y croire et à avancer la tête haute. Soulager, se rendre utile, être là. Simplement. Sourire et serrer fort sa petite vie. Avancer. Se concentrer sur l’essentiel. Réserver un soir d’août un voyage pour la Laponie pour l’hiver prochain. Être déraisonnable et se sentir vivante. Vouloir profiter, tout de suite. Les émotions mélangées, les frissons, le bonheur en filigrane. Les soirées d’été, les fous-rires jusqu’au petit matin et les projets qu’on esquisse. Glisser un collier avec un nuage autour du cou et couper sa frange. Coller des photographies dans un grand carnet, écrire « Se souvenir des belles choses. Toujours ». Et puis, sourire.

La publication de mes mots dans Simple things. L’enthousiasme, les tremblements et la petite fierté à l’arrivée. Les fenêtres grandes ouvertes la nuit et le parquet qui grince. Observer chaque soir les couleurs du ciel. Fin août, sur un coup de tête, prendre la voiture et la direction de l’Espagne. Sous le soleil-là, se ressourcer, s’apaiser. La chaleur qui colle au corps et cette sensation de se retrouver. Enfin. De respirer à nouveau. Lentement. Les journées studieuses et les belles découvertes le soir. L’Andalousie et sa beauté fascinante. Rester sans voix. Se laisser adsorber par le soleil, la chaleur et la mer en horizon. Sur la plage, les livres qui absorbent et les mélodies qui font échos. Fermer les yeux et s’évaporer. Se panser, un peu.

Au retour, les problèmes de santé d’Holly qui inquiètent, qui grignotent, qui font trembler les mains. Les urgences vétérinaires. Le jour, la nuit. Le lundi, mercredi, dimanche. La peur au ventre à chaque fois, l’inquiétude de la voir souffrir. Et puis, en septembre, l’opération. Lui apprendre à marcher à nouveau, être là. Doucement. Soutenir, soigner, encourager. La voir, chaque jour, aller un peu aller mieux. Avoir les larmes qui montent lors de ses premiers pas, à nouveau. L’éclaircie de fin d’été.

Septembre. Le premier pas en Afrique. Marrakech, Essaouira, le désert. Le soleil et l’hospitalité marocaine. L’odeur des épices, le jus d’orange frais, les petites ruelles. La place Jemaa el Fna, les pastillas et le jus d’avocat aux amandes. La découverte du jardin Majorelle aussi. Et puis, la nuit dans le désert. Couchés à même le sol, observer pour la première fois des étoiles filantes. Au milieu de la nuit, ne plus avoir de avoir assez de vœux. Dix jours à tout oublier et à se recentrer sur l’essentiel.

L’envol d’Anthony vers Luxembourg et la petite vie que l’on apprivoise à deux avec Holly. Les cours de danse, les soirées en tête-à-tête collées-serrées contre le canapé. Le travail qui prend à nouveau le dessus et qui fait avancer. La nuit qui tombe tôt et la douceur du quotidien. L’apprivoisement du silence, à deux. Les petites habitudes, ensemble. Le deuxième édition de « se souvenir des belles choses » que l’on prépare avec Marie toujours avec le même enthousiasme. Mes carnets entre mes mains, pour la première fois, et le sourire immense qui se dessine sur mes lèvres. Les deux ans de Holly, les mots dans le moleskine et le thé à la vanille à l’heure du goûter.

Début décembre. Quelques jours, à nouveau, à Marrakech. La bienveillance de la Maison arabe et la beauté du Palais Soleiman, la nuit, éclairée à la bougie. Se laisser chouchouter, bercer, apprivoiser. La découverte de la Médersa Ben Youssef et du palais de la Bahia. Dans l’avion entre Marrakech et Luxembourg, sentir le bonheur grimper en soi et serrer fort sa chance. Quelques jours plus tard, le marché de Noël de Strasbourg et la découverte du Nord-Est de la France. Les mains qui grelottent et le bonheur d’être là ensemble. Ses mains retrouvés dans mes cheveux la nuit. S’apaiser. L’énergie folle et les étoiles dans les yeux. Les séparations à nouveau, les aller-retours. Les baisers sur la pointe de pieds à l’aéroport et le cœur qui se tord toujours un peu.

En 2014, j’ai grandi, j’ai voyagé, j’ai ri. Beaucoup. J’ai découvert le Maroc et la Jordanie. L’Espagne, Le Luxembourg. Deauville, Cannes, Paris aussi. J’ai eu peur, j’ai douté, j’ai aimé. J’ai dit « je t’aime ». Je me suis sentie vivante. J’ai travaillé, pris confiance. J’ai lâché la rambarde, levé les yeux et avancé. La tête haute. Je me suis sentie un peu plus légitime, un peu plus à ma place dans ce quotidien crée-rêvé-fabriqué. J’ai trouvé mon rythme. Je me suis apaisée. J’ai dessiné des soleils et j’ai eu eu des étoiles dans les yeux en regardant par le hublot. J’ai lu, dessiné, crée. J’ai appris à prendre soin de moi, à m’écouter. A ne plus vouloir être parfaite, à ne plus m’apprendre à travers le regarder des autres. Apprivoiser sa fragilité. S’ancrer et se recentrer sur l’essentiel.

Et vous, votre année ?

 


 

Vous aimerez aussi
C'est promis

Vos commentaires
sont des petites douceurs
Mille mercis à vous

  1. Quelle belle année, pleine d’émotions, et joliment racontée! Plein de douceur encore pour 2015!

    Répondre
  2. Valérie

    Que 2015 soit aussi une belle année pour toi May, et tu verras que si tu le veux, tu verras toujours des choses merveilleuses, ces choses existent pour tout le monde mais beaucoup oublie de juste de les voir !

    Répondre
    • Oui, je crois que c’est surtout un regard sur la vie, une volonté d’ouvrir les yeux sur sa beauté. Tu as raison.
      Douce année à toi aussi Valérie ! Merci pour ton mot tout doux.

      Répondre
  3. C’est fou comme te lire me fait du bien, comme si une main amie se posait sur mon épaule et me racontait une jolie histoire, de celle qu’on n’entend moins quand on grandit. 2014 fut une année de tremblements et de décisions pour moi aussi, de rencontres, de partage. J’ai ouvert la porte de 2015, avec le sourire et l’envie de déployer mes ailes, de voler encore plus haut.
    Merci May pour ta chaleur, ta joie de vivre. Elles sont contagieuses!

    Répondre
    • Il est si joli ce commentaire Marie. Je crois que c’est un des plus joli commentaire que j’ai reçu.
      Merci, merci.
      2015 sera drôlement chouette, c’est sûr.

      Répondre
  4. Des mots qui sont toujours aussi agréables à lire, un récap’ de cette année 2014 réussi avec brio comme d’habitude,
    Je vous souhaite à Anthony & Toi, une année 2015 encore plus belle.
    De notre coté, 2015 sera une grande année, c’est certain :D

    Répondre
    • Merci beaucoup beaucoup !
      Oh, oh, un mariage ? Un bébé pour 2015 ? :)
      Belle année à toi aussi !

      Répondre
  5. Bravo May pour cette année pleine d’accomplissements, et de projets aussi !!! De mon côté elle fut bien remplie également, toujours en train de jongler entre blog et boulot « officiel », ce n’est pas facile parfois …

    Répondre
    • Merci Virginie ! Je crois que j’ai toujours besoin de faire mille choses pour me sentir un peu plus vivante et pour avoir l’impression d’avancer. :)

      Répondre
  6. Toujours autant de douceur et de beauté dans tes mots jolie May <3
    Malgré les nuages gris, tu as toujours le don de te "souvenir des belles choses", et de nous faire faire la même chose.
    Je te souhaite une année magnifique, qui aura le même goût que tes rêves.

    Répondre
    • Oh merci Louise jolie ! Cela me touche ce que tu écris. Beaucoup.
      Je te souhaite une belle et douce année à toi aussi. Qu’elle soit joyeuse, surprenante et créative.

      Répondre
    • C’est, je crois, la plus jolie des choses : apprendre.
      Douce année à toi et merci pour ton petit mot !

      Répondre
    • Oh merci Juliette ! J’ai pensé à toi quand j’ai écrit l’article tu sais (parce que la Jordanie, parce que j’adore tes bilans chaque année !).
      Je t’embrasse bien fort !

      Répondre
  7. Petite May, tu la sais plus en détail mais je dirais de l’année 2014 qu’il y a eu de l’attente, beaucoup d’attente, des aurevoirs, des vides et puis des pleins, des bêtises et puis des jolies choses, des amies et des oublis, un projet et la peine soulagée, une petite main à saisir et des bons mots, des mots dits et des mots entendus … merci de m’avoir accompagné à chaque petit moment, tout doucement, tranquillement.

    Répondre
    • Coeurcoeurcoeur. Cette année sera douce, jolie et colorée. C’est doux de t’avoir à mes côtés. Merci à toi.

      Répondre
  8. Quel beau bilan, et quelle année ! Je me reconnais quand tu dis que c’est en voyageant que tu te sens vivante…
    C’est une douceur que de te lire… que 2015 soit aussi riche !

    Répondre
    • Merci beaucoup Isa. Les voyages sont devenus essentiel à mon équilibre.
      Je te souhaite une très belle année à toi aussi !

      Répondre
  9. Une très belle année au final et riche en évenements ! J’espére que 2015 te reservera autant de bons moments !

    Répondre
    • Je l’espère aussi (même si je croise les doigts pour qu’elle soit un peu plus apaisée) !
      Je te souhaite une belle belle année !

      Répondre
  10. Leïla

    Douce May,
    C’est beau. Comme toujours d’ailleurs.
    Tu m’emeus à chaque fois…
    Je te souhaite une joyeuse et belle année 2015.
    ❤️

    Répondre
  11. Tout ce que tu racontes est juste magnifique !! Quelle année 2014 !!! Tous ces voyages… ça me laisse rêveuse ☺☺
    Bises

    Répondre
    • Merci beaucoup Steffe ! J’espère que 2015 sera aussi chouette en voyages (j’écris de l’aéroport : c’est donc bien parti !)

      Répondre
  12. waouh sacrée année. Moi aussi l’ambivalence des sentiments je connais: le doute, la peur, l’émotion, la joie, mais au moins on se sent vivante, comme tu dis. Je rêverais de pouvoir découvrir aussi de nouveaux horizons, mais j’ai trop peur de l’avion :-)
    je te souhaite une année 2015 aussi riche.

    Répondre
    • C’est ce que je me dis, oui. Se sentir vivante, c’est l’essentiel (même si je croise les doigts pour que 2015 soit un peu plus calme au niveau des émotions).
      C’est dommage pour l’avion. Je crois qu’il existe des petites thérapies pour apaiser la peur.
      Douce année à toi aussi.

      Répondre
  13. C’est surement l’un de tes plus longs billets mais des plus jolis aussi ma fée. Belle et heureuse année 2015. Qu’elle nous offre plein de nouveaux foux rire, de chouettes conversations, des clients à chouchouter à six mains, de la belle énergie et un nouveau week-end londonien ! je t’embrasse !

    Répondre
    • Oh, oh, oh ! ❤️
      Tellement, je reprends tout. 2015 sera chouette (dit la fille avec des étoiles plein les yeux et sur-excitée en route pour l’aéroport pour le pôle-nord !)

      Répondre
    • Merci ma jolie ! L’année a été un peu compliquée mais vivante. Je crois que c’est ce qu’il faut retenir.
      J’espère que 2015 sera un peu apaisée.
      Des bises et des sourires

      Répondre
  14. C’est doux, c’est beau, c’est comme on aime et comme on te connait. Je te souhaite une année 2015 de voeux qui s’exaucent et de rêves qui prennent leur envol. Et pour ce qui est de mon année, tu en as déjà lu je crois les traits ;)
    Bises

    Répondre
    • Merci beaucoup jolie Célie. Merci, merci, merci. Tes mots me glissent toujours un grand sourire et quelques paillettes dans les yeux.
      Coeurcoeurcoeur.

      Répondre
  15. Sophie

    Je viens toujours te lire quand j’ai besoin de me ressourcer. Et cette fois encore, la poésie de tes mots a mis du baume sur mon coeur et l’espoir a refait surface. Comme une parenthèse magique dans ma journée maussade et triste.
    Mille mercis…

    Répondre
    • Oh, c’est joli ce que tu m’as écrit. Merci, merci Sophie. Bien sûr, je te souhaite une jolie, créative, et douce année !

      Répondre
  16. Génial ton article, j’espère que 2015 t’apportera autant de choses que 2014, surtout les belles choses ;) Pour ma part, 2014 a été l’année où j’ai grandi aussi. Franchissement d’un cap. Et là 2015 commence plutôt bien, je sais où je veux aller et j’y crois… :)

    Répondre
    • Oh oui, je prends les belles choses. J’espère que les petites choses un peu plus compliquées prendront un peu moins d’espace cette année.
      Je te souhaite une belle et douce année, qu’elle continue de te faire grandir et avancer là où tu l’as décidé ! C’est le plus important.

      Répondre
  17. Bonjour May ! J’apprécie vraiment beaucoup la façon dont tu parles de la vie quotidienne, avec pudeur et sincérité. Cela me fait toujours du bien de venir lire quelques mots ici. Pourvu que 2015 soit belle.

    Répondre
    • Merci beaucoup Isabelle. Tes petits mots me touchent beaucoup. Je te souhaite, avec un peu de retard, une très belle année.

      Répondre
  18. marion

    Quelle magnifique année!
    Toujours aussi magnifique !
    J’aurais une question: je suis nouvelle à Toulouse et j’aimerais découvrir un peu mieux les petits endroits magiques de la ville rose… tu aurais des bonnes adresses à me donner? ( J’ai déjà vu Sandyan, j’y cours!)

    Merci! Bisous!

    Répondre
    • Oh, Sandyan est magique. Tu peux m’envoyer un petit mail avec tes goûts si tu veux, j’essaierai de te conseiller au mieux. Il y a tellement de petits endroits chouettes à Toulouse.
      Douce année à toi aussi !

      Répondre
  19. Une bien belle année, l amour et les découvertes! Je crois qu une année ne peut être mieux remplie! Je te la souhaite aussi belle en 2015!

    Répondre
  20. Quel plaisir de te lire à chaque fois, quelles émotions également, j’en ai les larmes aux yeux.
    Merci à toi…

    Répondre

Déposez un commentaire
et souriez, vous êtes fantastique

  • (ne sera pas publié)