Regarder des animaux, c’est ouvrir une fenêtre de rêve dans mon imaginaire. Je ne parlerai pas de la tristesse de les voir enfermer dans des espaces trop petits pour vraiment s’épanouir. Je ne parlerai pas des poignées d’espèces en voie de disparition à cause de, peu importe après tout. Je ne parlerai pas non plus de la peine ressentie quand ils sont transformés en bêtes de foire, de moquerie.
Non, j’évoque ici juste la beauté de leur existence. J’observe, et je reste muette.