Mon enfance au bout des lèvres,
Hier, ce fut une après midi entre filles comme je les aime tant. Une après-midi à deux entre un gâteau au chocolat chaud partagé et nos murmures. L’amitié crée des instants sublimes. C’était un rayon de soleil sur mon visage dans mon regard dans mon coeur lorsque je l’écoutais, lorsque je la regardais. C’était ses mots que je dégustais, ses sourires que j’aime tant que j’attrapais et que je lui rendais. C’était des vagues de confidences qui s’abattait sur la rive de cette relation privilégiée et bâtie si solidement. Je respirais à pleins poumons . Je m’enivrais de vie, de bonheur et de la fraicheur de cette étincelle qui apparait à chacune de nos retrouvailles.
L’amitié partagée apaise, rassure. J’avais besoin de cet instant entre filles, de ce moment de réconfort de secrets à deux où l’on peut tout se dire, tout se chuchoter sans crainte. Ici, la confiance est totale. On sait que nos paroles ne s’envoleront pas ailleurs . Il y a beaucoup de confiance, beaucoup d’estime dans l’amitié. On s’admire. On est franche et sincère envers l’autre. On se raconte et on se vit. On se connait sur le bout des doigts, on pourrait se raconter les yeux fermés. Entre nous, ce sont des années de souvenirs, de rêves, de sourires. On a grandi cote à cote. C’était ma main dans la sienne, et nos jouets d’enfant pour deux. C’était une enfance merveilleuse, une amitié pure. Des éclats de rire et des projets en barbe-à-papa.
L’amitié partagée apaise, rassure. J’avais besoin de cet instant entre filles, de ce moment de réconfort de secrets à deux où l’on peut tout se dire, tout se chuchoter sans crainte. Ici, la confiance est totale. On sait que nos paroles ne s’envoleront pas ailleurs . Il y a beaucoup de confiance, beaucoup d’estime dans l’amitié. On s’admire. On est franche et sincère envers l’autre. On se raconte et on se vit. On se connait sur le bout des doigts, on pourrait se raconter les yeux fermés. Entre nous, ce sont des années de souvenirs, de rêves, de sourires. On a grandi cote à cote. C’était ma main dans la sienne, et nos jouets d’enfant pour deux. C’était une enfance merveilleuse, une amitié pure. Des éclats de rire et des projets en barbe-à-papa.
Alors même si l’on a grandi, beaucoup. Si parfois, on a un peu moins le temps comme avant, comme au temps de l’enfance, de l’insouciance. On est là une pour l’autre. On s’est rencontré, il y a plus de dix ans maintenant dans un cours de danse, et l’on se serre toujours la main aussi fort quand une flanche, bascule. On se connait par coeur. On peut tout se dire sans se sentir juger, juste aimer.
C’est là l’essentiel.